En veut-on à BIAGGI ?

Max BIAGGI, ce n'est plus un secret pour personne, doit son chômage technique aux usines nippones, qui l'ont déclaré persona non grata dans le paddock. Il faut dire, un peu à leur décharge, que l'Italien à l'égo exacerbé, ne leur a jamais fait de cadeau, et que, d'autre part, l'arrivée d'un phénomène comme ROSSI, capable de transformer en or tout ce que l'Empereur Romain qualifie de plomb, a sérieusement erodé la mansuétude des usines à son égard.
Max, d'ailleurs, joue très bien son rôle de victime. On pourrait même le croire parano. Eh bien, avec ce qui va suivre, on se surprendrait à penser, qu'en fait, il est dans le vrai...
C'est l'histoire d'une banderole déployée dans un virage du GP d'Italie au MUGELLO. Dans une tribune DUCATI, un message de soutien à Max, espérant son retour.

Une image prise sur le vif officialise la réalité de son existence qu'a, ni plus, ni moins effacée le site officiel du MotoGP. La DORNA n'explique pas cette troublante disparition. Et personne n'a voulu commenter dans le milieu ce mot doux à BIAGGI.

Pression, ségrégation ? On ne peut, en tout cas, que s'interroger sur ce mystère.
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération