Dans son édition du 4 janvier, le célèbre quotidien fait un bilan annuel de la cohabitation entre les piétons, les deux roues au sens large et les automobilistes dans les rues de la capitale. Et le moins que l'on puisse c'est que ce n'est pas la joie. La tendance nationale qui pousse la statistique vers la régression des risques se trouve ainsi carrément contredite. La faute à une réduction de l'espace consacrée aux véhicules.Vitesse excessive, indiscipline des piétons et une augmentation des deux roues qui se conjugue avec l'explosion des excès dits de « grande vitesse » relevées à leur encontre ne pousse guère à l'angélisme béat sur les conditions de circulation. Et le couperet tombe : la moitié de la soixantaine d'accidents mortels constatés en 2006 concernent des deux roues motorisées.Formation générale, remontée des files et circulation sur les voies réservées aux bus, tout est abordé dans cet article à consulter impérativement ICI, pour faire son opinion.