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Commentaires - Brexit : le prix des Mini bientôt en hausse ?

Florent Ferrière

Brexit : le prix des Mini bientôt en hausse ?

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Par §pla423mo

La concurrence sera rude.

Ils vont rentrer dans le dur les anglais.

Par §Vig126KI

Rien de neuf sous le soleil. C'est le même message que passent, depuis l'annonce du Brexit, tous les constructeurs ayant des unités de productions au Royaume-Uni.

Juste de quoi effrayer un peu les décideurs en espérant pouvoir passer à travers les mailles du filet avec des aménagements.

Un coup de comm quoi.

Par

Ils ont tout compris les english :bien:

Par

En réponse à integralhf

Ils ont tout compris les english :bien:

   

Ah bon... : Ils ont compris quoi au juste...??

Par

En réponse à integralhf

Ils ont tout compris les english :bien:

   

C' est clair ! :bien: Ça risque d' être un peu dur pendant peut être 4 ans , mais une fois qu'ils vont trouver leur vitesse de croisière , c' est nous qui allons pleurer ! :blague: Bloqué dans une Europe de merde on vas couler de plus en plus ! :bah:

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Par

En réponse à speedster 72

C' est clair ! :bien: Ça risque d' être un peu dur pendant peut être 4 ans , mais une fois qu'ils vont trouver leur vitesse de croisière , c' est nous qui allons pleurer ! :blague: Bloqué dans une Europe de merde on vas couler de plus en plus ! :bah:

   

Dure pendant 4ans ? :beuh:

C'est précis...Tu as regardé: "Retour vers le futur 2" hier ? :blague:

Par

En réponse à mekinsy

Dure pendant 4ans ? :beuh:

C'est précis...Tu as regardé: "Retour vers le futur 2" hier ? :blague:

   

Non :areuh: , mais toi essai de regarder plus loing que le bout de ton nez ! :brosse:

Par

...BMW n'aura qu'a délocaliser la production en Europe, épicetou

Par

oui, enfin, il s'avance un peu le monsieur, car tout dépend également de l'évolution de la livre sterling par rapport à l'euro.

si suite au Brexit, la livre s'envole ou au contraire dégringole, les prix pourraient très fortement augmenter, voire... baisser, du fait que la main d'oeuvre pour produire deviendrait moins onéreuse pour BMW.

Par

à noter pour le coup que les BMW vendues en UK pourraient aussi coûter bien plus cher pour les anglais...

ou moins, si la livre sterling augmente en valeur. mais bon, c'était déjà le cas avant le brexit.

Par

En réponse à Aude911

...BMW n'aura qu'a délocaliser la production en Europe, épicetou

   

Au Maroc plutôt: c'est encore mieux, du fait notamment des accords de libre échange entre l'UE et le Maroc.

Par

Les Mini sont déjà hors de prix ...

Par

En réponse à mekinsy

Dure pendant 4ans ? :beuh:

C'est précis...Tu as regardé: "Retour vers le futur 2" hier ? :blague:

   

La vérité est que personne ne sait et ne peut savoir: on verra bien, justement.:bah:

On verra finalement si sortir de l'UE est une bonne chose ou pas.

Par

En réponse à ERIC3535

Les Mini sont déjà hors de prix ...

   

ça dépend pour qui: un grec, un français ou un suédois?

hé oui, dans l'UE, il y a de... fortes disparités au niveau du pouvoir d'achat. vive l'UE. :biggrin:

Par

Pas grave, BMW n'a qu'à delocaliser la production en Europe centrale, Pologne

Par

En réponse à fedoismyname

ça dépend pour qui: un grec, un français ou un suédois?

hé oui, dans l'UE, il y a de... fortes disparités au niveau du pouvoir d'achat. vive l'UE. :biggrin:

   

Il y a de fortes disparités au sein même d'un pays comme le nôtre. :redface:

Il n'y a qu'à voir certains de nos compatriotes se ruer sur les "rares" possibilités qu'offrent notre gouvernement, afin d'aller se balader à plusieurs milliers de kilomètres de la métropole durant les fêtes...:brosse:

Pendant que d'autres se demandent si ils auront 3 patates à manger au réveillon...:frown: (J'exagère à peine.)

Ton rapport avec l'UE me fait penser à un homme qui n'aimerait plus sa femme, lui cherchant tous les défauts de la Terre pour la détester.:lol:

Par

En réponse à §pla423mo

La concurrence sera rude.

Ils vont rentrer dans le dur les anglais.

   

Ce sont les Français, les Allemands et les Indiens qui détiennent l'industrie automobile anglaise, ce sont eux qui vont y perdre si l'UE continue le forcing, les Anglais s'en foutent toyal !!

Par

En réponse à fedoismyname

La vérité est que personne ne sait et ne peut savoir: on verra bien, justement.:bah:

On verra finalement si sortir de l'UE est une bonne chose ou pas.

   

Voilà de sages paroles

Par §All438Zw

Deal ou pas Deal une marque allemande aura toujours ses prix qui grimperont exponentiellement, tout comme Peugeot à la fiabilité déplorable qui fabrique partout sauf en France............ou comme Renault qui.................et VW qui expédie ses Q5 du Mexique en France..............c'est ça l'écologie de nos enfants crétins.

Par

Pas grave, les minets et minettes payeront un peu plus cher.

Et puis c'est tout.

Par

En réponse à speedster 72

C' est clair ! :bien: Ça risque d' être un peu dur pendant peut être 4 ans , mais une fois qu'ils vont trouver leur vitesse de croisière , c' est nous qui allons pleurer ! :blague: Bloqué dans une Europe de merde on vas couler de plus en plus ! :bah:

   

économiste au doigt mouillé ?

Par

En réponse à fedoismyname

à noter pour le coup que les BMW vendues en UK pourraient aussi coûter bien plus cher pour les anglais...

ou moins, si la livre sterling augmente en valeur. mais bon, c'était déjà le cas avant le brexit.

   

La livre est déjà depuis vendredi à un niveau historiquement bas par rapport à l'euro ou au dollar... Niveau de 2008 :beuh:

Par

En réponse à fedoismyname

La vérité est que personne ne sait et ne peut savoir: on verra bien, justement.:bah:

On verra finalement si sortir de l'UE est une bonne chose ou pas.

   

Même pas en fait. Car les conséquences au RU seront fonction des politiques locales, de la situation mondiale, du comportement de la population... il n'y a pas de "planète bis" avec un RU sans brexit pour comparer. La vie, c'est le changement. Et s'imaginer qu'on pourra séparer ce qui demain (=10 ans?) sera l'effet du brexit de ce qui ne le sera pas, ce sera se mettre le doigt dans l'œil. Il y aura même dans 10 ans des pro et des anti-brexit (et la majorité ne détiendra évidemment pas la vérité, LE grand problème de la démocratie)...

Par

En réponse à Teamgreen

économiste au doigt mouillé ?

   

Doigt mouillé de son propre ego, oui, sans doute... :bien:

Par

En réponse à Gus76

Pas grave, les minets et minettes payeront un peu plus cher.

Et puis c'est tout.

   

Arrête! Ça va se vendre encore plus!! :areuh:

Par

En réponse à §All438Zw

Deal ou pas Deal une marque allemande aura toujours ses prix qui grimperont exponentiellement, tout comme Peugeot à la fiabilité déplorable qui fabrique partout sauf en France............ou comme Renault qui.................et VW qui expédie ses Q5 du Mexique en France..............c'est ça l'écologie de nos enfants crétins.

   

ah, ben merde alors, que produit donc PSA dans son usine historique de Sochaux? :cyp:

Par

En réponse à hyene

La livre est déjà depuis vendredi à un niveau historiquement bas par rapport à l'euro ou au dollar... Niveau de 2008 :beuh:

   

dès lors, produire en UK devient de moins en moins cher pour BMW.

mais ça, le patron de BMW se garde bien de le dire... :cyp:

Par

En réponse à Philippe2446

Même pas en fait. Car les conséquences au RU seront fonction des politiques locales, de la situation mondiale, du comportement de la population... il n'y a pas de "planète bis" avec un RU sans brexit pour comparer. La vie, c'est le changement. Et s'imaginer qu'on pourra séparer ce qui demain (=10 ans?) sera l'effet du brexit de ce qui ne le sera pas, ce sera se mettre le doigt dans l'œil. Il y aura même dans 10 ans des pro et des anti-brexit (et la majorité ne détiendra évidemment pas la vérité, LE grand problème de la démocratie)...

   

alors, on verra tout simplement si les anglais finissent par vivre mieux ou moins bien que nous, après avoir quitté l'UE.

car in fine, c'est ça qui importe. :bah:

Par

En réponse à Gus76

Pas grave, les minets et minettes payeront un peu plus cher.

Et puis c'est tout.

   

Deux ou trois passes de plus dans la journée, et l'affaire sera faite :buzz:

Par

En réponse à Teamgreen

économiste au doigt mouillé ?

   

Ça change de ceux qui, bien souvent ici, à les lire, se le sortent d'un sillon qui leur laisse ledit doigt plus souillé que mouillé :ddr:

Par

En réponse à fedoismyname

alors, on verra tout simplement si les anglais finissent par vivre mieux ou moins bien que nous, après avoir quitté l'UE.

car in fine, c'est ça qui importe. :bah:

   

Ça serait quoi vivre mieux que nous ? :voyons:

Un petit développement (Voir un grand.) s'impose.

Parce que ça ne veut strictement rien dire vivre mieux.

Ne plus subir la mondialisation ?

Établir ses propres règles ?

Déjà je vois bien l'Ecosse prendre son indépendance avant la fin de cette décennie.

Vu que lors du référendum de 2014, les Anglais ont fait pression sur leur adhésion caduque à l'UE en cas de oui à l'indépendance.

Ils se sentent actuellement les dindons de la farce...(Ils ont répondu majoritairement OUI pour un maintien dans l'UE, tout comme l'Irlande du Nord.)

Et ça c'était quand ca allait bien..:roll:

Donc écrire que l'on ne sait pas si ce rejet de l'UE sera un bien ou un mal pour les anglais...Ca me fait sourire.:smile:

Par

qu'ils mordent la poussière, j'irais pas chialer.

Ils vont se faire bouffer en vendant leur cul.

Par

Ce qui est drôle c'est notre vision biaisé du BREXIT en France.

Prenons l'avis des investisseurs (qui reflète la confiance en l'avenir économique au final : on investi pas ou peu dans un pays en décrépitude) :

- La France au travers de son CAC 40 depuis le référendum du 23 juin 2016 sur le BREXIT jusqu'à aujourd'hui :

4300 points => 5571 points (soit une hausse de 29% environ)

- Le RU au travers de la London Stock Exchange :

2435 points => 8550 points (soit une hausse de 250% environ)

C'est drôle d'observer la dystopie des média français PRO-EU par rapport au résultat économique du BREXIT.

Il faut croire que les investisseurs ne se basent pas sur nos médias aux lignes éditoriales imposées...

Je me rappelle quand tout nos médias français à la veille du référendum (ou le BREXIT était vendu comme favori) annoncés une chute astronomique de la bourse londonienne... Quel pied de nez !

Par

Prendre les indices de des Bourses comme indicateur est très trompeur à mon avis.

2020 est une année catastrophique économiquement mais la valeur boursière des plus grands Groupes a continuer de grimper fort.... Cela veut dire que 2021 va être tout rose économiquement ? N'importe quoi.

Par

En réponse à subaruforever

Prendre les indices de des Bourses comme indicateur est très trompeur à mon avis.

2020 est une année catastrophique économiquement mais la valeur boursière des plus grands Groupes a continuer de grimper fort.... Cela veut dire que 2021 va être tout rose économiquement ? N'importe quoi.

   

"Prendre les indices de des Bourses comme indicateur est très trompeur à mon avis."

Pas du tout. La bourse c'est simplement le reflet de la confiance des investisseurs, ni plus, ni moins. Un investisseur ne mise jamais sur un marché perdu d'avance, il mise sur un potentiel. Donc pour les investisseurs, le RU grâce au BREXIT devient un eldorado pour l'investissement, voila ce qu'il faut retenir.

Par

En réponse à Lycanthr0pe

Deux ou trois passes de plus dans la journée, et l'affaire sera faite :buzz:

   

:biggrin: c'est pas gentil :biggrin::biggrin:

Par

En réponse à Lycanthr0pe

Ça change de ceux qui, bien souvent ici, à les lire, se le sortent d'un sillon qui leur laisse ledit doigt plus souillé que mouillé :ddr:

   

Je vois que tu es très en forme aujourd'hui :fresh:

Par

En réponse à Axel015

"Prendre les indices de des Bourses comme indicateur est très trompeur à mon avis."

Pas du tout. La bourse c'est simplement le reflet de la confiance des investisseurs, ni plus, ni moins. Un investisseur ne mise jamais sur un marché perdu d'avance, il mise sur un potentiel. Donc pour les investisseurs, le RU grâce au BREXIT devient un eldorado pour l'investissement, voila ce qu'il faut retenir.

   

Il n'y a rien à retenir...

Il est encore bien trop tôt pour observer l'effet du Brexit. (Il n'a pas encore prit effet pour rappel.)

Ce ne sont actuellement que des tendances...Du virtuel !

Le concret c'est d'ici les prochaines années qu'il va se produire.

Il faudra une bonne dizaine d'années pour faire un point objectif sur la sortie du R-U de l'UE.

Comme je l'annonçais précédemment, je ne pense pas que l'Ecosse adhère au projet anglais...

Sans l'Ecosse (Qui représente 10% du PIB de la GB), ils vont être encore un peu plus diminué.

Par

Et les voitures exportées vers le Ru seront aussi taxées plus chères .

Il y aura peut être un réflexe nationalistes pour acheter ce qui est fabriqué localement .

Un coup dur pour les constructeurs de l'UE, le royaume Uni est le deuxième marché européen .

On verra à l'avenir mais nous faire croire que seul le Ru a tout a perdre c'est faux sinon pourquoi l'UE n'a pas claqué la porte des négociations si elle n'a rien à perdre ?

Par

En réponse à jojozuf1

Et les voitures exportées vers le Ru seront aussi taxées plus chères .

Il y aura peut être un réflexe nationalistes pour acheter ce qui est fabriqué localement .

Un coup dur pour les constructeurs de l'UE, le royaume Uni est le deuxième marché européen .

On verra à l'avenir mais nous faire croire que seul le Ru a tout a perdre c'est faux sinon pourquoi l'UE n'a pas claqué la porte des négociations si elle n'a rien à perdre ?

   

L'Europe à très peur du No Deal... Elle comprend bien qu'elle va perdre bcp avec le BREXIT, mais alors un BREXIT no deal, c'est l'hécatombe pour l'UE.

Les pécheurs anglais n'attendent que ça eux le no deal.

Par

En réponse à mekinsy

Il n'y a rien à retenir...

Il est encore bien trop tôt pour observer l'effet du Brexit. (Il n'a pas encore prit effet pour rappel.)

Ce ne sont actuellement que des tendances...Du virtuel !

Le concret c'est d'ici les prochaines années qu'il va se produire.

Il faudra une bonne dizaine d'années pour faire un point objectif sur la sortie du R-U de l'UE.

Comme je l'annonçais précédemment, je ne pense pas que l'Ecosse adhère au projet anglais...

Sans l'Ecosse (Qui représente 10% du PIB de la GB), ils vont être encore un peu plus diminué.

   

IDH, PIB, capitalisation boursière...

Ce ne sont que des chiffres... quand ça t'arrange hein et que ça va dans le sens de ton endoctrinement... C'est risible !

Par

ils pourraient doubler le prix de ces trucs que ça ne me génerait pas . Je laisse ça aux bobos

Par

En réponse à Axel015

IDH, PIB, capitalisation boursière...

Ce ne sont que des chiffres... quand ça t'arrange hein et que ça va dans le sens de ton endoctrinement... C'est risible !

   

Nuance, j'évoque des faits RÉELS corroborer par des stats/chiffres...:langue:

Ça raconte quoi concrètement sur le terrain ton +250% ? :voyons:

Par

Déjà que je trouve qu'elles sont chères. Si elles prennent 10% en plus, de toute manière, ça va se vendre.

À part, les bobos, qui achètent ça ?

Par

En réponse à mekinsy

Nuance, j'évoque des faits RÉELS corroborer par des stats/chiffres...:langue:

Ça raconte quoi concrètement sur le terrain ton +250% ? :voyons:

   

Excellente question.

Allez prenons un exemple :

Une entreprise A du CAC 40 pesant 10 milliards a subit un hausse de capital en 4 ans de 30%.

Une entreprise B concurrente de l'entreprise A côté à la London Stock Exchange pesant également 10 milliards a subit une hausse de capital en 4 ans de 250%.

Donc l'entreprise A a un capital de 13 milliards, tandis que l'entreprise B concurrente a maintenant un capital de 35 milliards.

A quoi cette capitalisation peut-elle bien servir ?

1./ L'investissement : en se séparant d'action, l'entreprise B peut donc avoir le triple de liquidité par rapport à l'entreprise A : idéal pour évoluer et investir en R&D par exemple sans avoir a perdre le contrôle de l'entreprise en vendant trop de parts.

2./ La capacité d'emprunt : une entreprise emprunte en fonction de son capital

3./ En cas de fusion entre l'entreprise A & B (ce qui arrive souvent pour les grosses sociétés) : c'est l'entreprise B qui aurait le contrôle sur l'entreprise Française A. (donc les rentrées fiscales iraient au bénéfice du pays de l'entreprise B)

4./ La pérennité : une forte capitalisation permet à tout moment d'avoir du cash flow : en se séparant d'action tout simplement : idéal pour encaisser les grosses crises (comme le COVID)

Bref, la capitalisation boursière démontre que l'avenir à court et moyen terme est assuré pour l'entreprise, c'est une sorte d'assurance vie pour la société et donc pour l'emploi en règle général.

Autrement dit, l'avenir est bien plus prometteur aux RU qu'en France. Les investisseurs n'ont pas d'apriori politique eux. Ils vont simplement où l'herbe est la plus verte pour investir tout simplement : donc c'est un indicateur plus que pertinent. C'est pas pour rien que juste avant le BREXIT les médias Français nous disaient que la bourse de Londres allait s'effondrer avec la terrible nouvelle du BREXIT. Il faut croire que les investisseurs n'ont pas le même avis sur le sujet.

Par

En réponse à Axel015

IDH, PIB, capitalisation boursière...

Ce ne sont que des chiffres... quand ça t'arrange hein et que ça va dans le sens de ton endoctrinement... C'est risible !

   

L'inverse est tout aussi vrai.

Par

En réponse à mekinsy

Nuance, j'évoque des faits RÉELS corroborer par des stats/chiffres...:langue:

Ça raconte quoi concrètement sur le terrain ton +250% ? :voyons:

   

Les "brexiters" ont du mal à comprendre que le Brexit-no deal aura des conséquences autres que boursières. La GB ne se limite pas qu'à la City.

Par

En réponse à Axel015

IDH, PIB, capitalisation boursière...

Ce ne sont que des chiffres... quand ça t'arrange hein et que ça va dans le sens de ton endoctrinement... C'est risible !

   

"quand ça t'arrange hein et que ça va dans le sens de ton endoctrinement... "

J'adore cet argument un brin méprisant (tu ne penses pas comme moi, donc t'es endoctriné). Méprisable.:pfff:

Par

En réponse à Critias

"quand ça t'arrange hein et que ça va dans le sens de ton endoctrinement... "

J'adore cet argument un brin méprisant (tu ne penses pas comme moi, donc t'es endoctriné). Méprisable.:pfff:

   

Une doctrine c'est pas forcément faux. Donc rien de péjoratif.

Je parle d'endoctrinement, car les médias français mainstream véhicule une pensée quasi unique (hors Cnews peut-être) sans admettre dans le débat une pensée contradictoire.

Typiquement, sur 99% des médias français on a une vision ultra-libérale & européiste qui est véhiculée.

Alors que aux RU par exemple, on a des médias bien plus disparate. Par conséquent, on a moins de phénomène d'endoctrinement car le discours à toujours une contradiction. Aux USA c'est similaire, on retrouve des médias conservateurs/progressistes et libéraux/protecteurs en proportion relativement égale.

Donc oui, en France, par manque de contradiction dans le débat, on a à faire a un phénomène d'endoctrinement.

Par

En réponse à Axel015

Excellente question.

Allez prenons un exemple :

Une entreprise A du CAC 40 pesant 10 milliards a subit un hausse de capital en 4 ans de 30%.

Une entreprise B concurrente de l'entreprise A côté à la London Stock Exchange pesant également 10 milliards a subit une hausse de capital en 4 ans de 250%.

Donc l'entreprise A a un capital de 13 milliards, tandis que l'entreprise B concurrente a maintenant un capital de 35 milliards.

A quoi cette capitalisation peut-elle bien servir ?

1./ L'investissement : en se séparant d'action, l'entreprise B peut donc avoir le triple de liquidité par rapport à l'entreprise A : idéal pour évoluer et investir en R&D par exemple sans avoir a perdre le contrôle de l'entreprise en vendant trop de parts.

2./ La capacité d'emprunt : une entreprise emprunte en fonction de son capital

3./ En cas de fusion entre l'entreprise A & B (ce qui arrive souvent pour les grosses sociétés) : c'est l'entreprise B qui aurait le contrôle sur l'entreprise Française A. (donc les rentrées fiscales iraient au bénéfice du pays de l'entreprise B)

4./ La pérennité : une forte capitalisation permet à tout moment d'avoir du cash flow : en se séparant d'action tout simplement : idéal pour encaisser les grosses crises (comme le COVID)

Bref, la capitalisation boursière démontre que l'avenir à court et moyen terme est assuré pour l'entreprise, c'est une sorte d'assurance vie pour la société et donc pour l'emploi en règle général.

Autrement dit, l'avenir est bien plus prometteur aux RU qu'en France. Les investisseurs n'ont pas d'apriori politique eux. Ils vont simplement où l'herbe est la plus verte pour investir tout simplement : donc c'est un indicateur plus que pertinent. C'est pas pour rien que juste avant le BREXIT les médias Français nous disaient que la bourse de Londres allait s'effondrer avec la terrible nouvelle du BREXIT. Il faut croire que les investisseurs n'ont pas le même avis sur le sujet.

   

OK, alors déjà on évoque ca:

"Le FTSE 100, plus connu sous le nom de Footsie, est un indice boursier composé des cent entreprises britanniques les mieux capitalisées à la bourse de Londres. Ces entreprises représentent plus de 70% du marché londonien.

FTSE est l’abréviation de "Financial Times Stock Exchange" car cet indice a été créé par le Financial Times, le célèbre quotidien économique britannique. Il a été lancé le 3 janvier 1984 sur une base de 1000 points et a atteint son plus haut historique en décembre 1999 à 6950,60 points."

https://www.infinance.fr/articles/bourse/place-boursiere/article-le-ftse-100-ou-footsie-definition-et-calcul-223.htm

Donc la maintenant on sait de quoi on cause...:buzz:

6950 points en 1999, et actuellement 6591 points au moment ou j'écris ces lignes...:hum:

L'indice CAC 40 est à 5547 points actuellement.

La bourse de Londres ne s'est pas effondrée en effet (Heureusement pour nous car sinon c'est l'effet dominos tant redouter par l'UE...)

Mais elle n'est en rien florissante comme tu te permets de le prétendre.

De plus les marchés boursiers sont particulièrement volatiles et on ne peut s'appuyer dessus pour entrevoir l'avenir, même à court terme.:nanana:

Jeudi noir de Wall Street, ca ne te rappelle rien ?

Ce sont en quelques sortes des "paris" sur l'avenir ou on laisse de côté l'aspect matériel, physique et tactile des choses...

Tout se passe par écran, par médias, par déclarations, réunions, prises de positions...(La majorité des actionnaires n'auront jamais mit un orteil dans l'entreprise ou ils capitalisent.)

Aujourd'hui tu as 10 milliards, demain 9 milliards, voir moins...

La bourse c'est ça:

"2008 : la crise des subprimes. Due à une bulle immobilière aux Etats-Unis (qui existe aussi dans certains pays d'Europe), la crise des subprimes (crédits hypothécaires à risque) aux Etats-Unis se propage aux marchés financiers américains et mondiaux. Sur les neuf premiers mois de l'année, les principaux indices boursiers perdent plus de 30 %. La crise s'aggrave début octobre avec des chutes approchant 10 % sur de nombreux marchés mondiaux le lundi 6 octobre et le vendredi 10 octobre. Les autorités économiques tentent de réagir avec la politique budgétaire – plan de relance, mesures de recapitalisation des banques en difficulté – et monétaire – baisse des taux d'intérêt des banques centrales, injections massives de liquidités –, mais les Bourses pour l'instant cèdent à la panique."

https://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/10/10/les-krachs-boursiers-une-vieille-histoire_1105364_1101386.html

Alors oui la bourse peut permettre à des entreprises de se développer de manière fulgurantes (L'exemple le plus connu est Amazon devenu en moins de 25ans, la première entreprise mondiale), mais elle peut aussi mettre en grande difficulté ces mêmes entreprises tout aussi vite....:peur:

Exemple:

"Après la publication de résultats décevants pour le troisième trimestre, le géant de l'internet Amazon s'est attiré les foudres de Wall Street. Une crise de confiance couve entre les dirigeants du groupe - trop dépensiers - et les investisseurs dubitatifs. La baisse du cours de l'action a causé, le 24 octobre, une perte de 12 milliards de dollars de capitalisation boursière du groupe."

https://www.usine-digitale.fr/article/amazon-perd-la-confiance-de-wall-street-12-milliards-de-capitalisation-s-envolent.N2933

Il est très inconscient de baser l'économie d'un pays sur son seul indice boursier, car cela ne repose sur rien de concret.:nanana:

En tout cas, je ne m'appuyerai jamais sur les chiffres boursiers pour démontrer quoi que ce soit concernant l'économie d'un pays, car je connais que trop bien la fragilité du monde de la finance...:hello:

Par

En réponse à mekinsy

OK, alors déjà on évoque ca:

"Le FTSE 100, plus connu sous le nom de Footsie, est un indice boursier composé des cent entreprises britanniques les mieux capitalisées à la bourse de Londres. Ces entreprises représentent plus de 70% du marché londonien.

FTSE est l’abréviation de "Financial Times Stock Exchange" car cet indice a été créé par le Financial Times, le célèbre quotidien économique britannique. Il a été lancé le 3 janvier 1984 sur une base de 1000 points et a atteint son plus haut historique en décembre 1999 à 6950,60 points."

https://www.infinance.fr/articles/bourse/place-boursiere/article-le-ftse-100-ou-footsie-definition-et-calcul-223.htm

Donc la maintenant on sait de quoi on cause...:buzz:

6950 points en 1999, et actuellement 6591 points au moment ou j'écris ces lignes...:hum:

L'indice CAC 40 est à 5547 points actuellement.

La bourse de Londres ne s'est pas effondrée en effet (Heureusement pour nous car sinon c'est l'effet dominos tant redouter par l'UE...)

Mais elle n'est en rien florissante comme tu te permets de le prétendre.

De plus les marchés boursiers sont particulièrement volatiles et on ne peut s'appuyer dessus pour entrevoir l'avenir, même à court terme.:nanana:

Jeudi noir de Wall Street, ca ne te rappelle rien ?

Ce sont en quelques sortes des "paris" sur l'avenir ou on laisse de côté l'aspect matériel, physique et tactile des choses...

Tout se passe par écran, par médias, par déclarations, réunions, prises de positions...(La majorité des actionnaires n'auront jamais mit un orteil dans l'entreprise ou ils capitalisent.)

Aujourd'hui tu as 10 milliards, demain 9 milliards, voir moins...

La bourse c'est ça:

"2008 : la crise des subprimes. Due à une bulle immobilière aux Etats-Unis (qui existe aussi dans certains pays d'Europe), la crise des subprimes (crédits hypothécaires à risque) aux Etats-Unis se propage aux marchés financiers américains et mondiaux. Sur les neuf premiers mois de l'année, les principaux indices boursiers perdent plus de 30 %. La crise s'aggrave début octobre avec des chutes approchant 10 % sur de nombreux marchés mondiaux le lundi 6 octobre et le vendredi 10 octobre. Les autorités économiques tentent de réagir avec la politique budgétaire – plan de relance, mesures de recapitalisation des banques en difficulté – et monétaire – baisse des taux d'intérêt des banques centrales, injections massives de liquidités –, mais les Bourses pour l'instant cèdent à la panique."

https://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/10/10/les-krachs-boursiers-une-vieille-histoire_1105364_1101386.html

Alors oui la bourse peut permettre à des entreprises de se développer de manière fulgurantes (L'exemple le plus connu est Amazon devenu en moins de 25ans, la première entreprise mondiale), mais elle peut aussi mettre en grande difficulté ces mêmes entreprises tout aussi vite....:peur:

Exemple:

"Après la publication de résultats décevants pour le troisième trimestre, le géant de l'internet Amazon s'est attiré les foudres de Wall Street. Une crise de confiance couve entre les dirigeants du groupe - trop dépensiers - et les investisseurs dubitatifs. La baisse du cours de l'action a causé, le 24 octobre, une perte de 12 milliards de dollars de capitalisation boursière du groupe."

https://www.usine-digitale.fr/article/amazon-perd-la-confiance-de-wall-street-12-milliards-de-capitalisation-s-envolent.N2933

Il est très inconscient de baser l'économie d'un pays sur son seul indice boursier, car cela ne repose sur rien de concret.:nanana:

En tout cas, je ne m'appuyerai jamais sur les chiffres boursiers pour démontrer quoi que ce soit concernant l'économie d'un pays, car je connais que trop bien la fragilité du monde de la finance...:hello:

   

Bonne lecture :

https://www.capital.fr/entreprises-marches/apres-le-brexit-leconomie-du-royaume-uni-devrait-aisement-resister-1361142

Par

En réponse à Axel015

Bonne lecture :

https://www.capital.fr/entreprises-marches/apres-le-brexit-leconomie-du-royaume-uni-devrait-aisement-resister-1361142

   

Le 17 décembre 2020 à 9h37, tu ne semblais pas être en accord avec les propos tenus par les médias français...:wink:

Tu changes d'avis comme de chemises.:biggrin:

Je lis Capital...:jap:

Sinon plus bas en dessous de l'article que tu as mis en lien, et plus récent:

https://www.capital.fr/economie-politique/la-facture-astronomique-dun-no-deal-brexit-pour-leconomie-du-royaume-uni-1382496

https://www.capital.fr/economie-politique/la-catastrophe-economique-que-connaitrait-le-royaume-uni-en-cas-de-hard-brexit-1313918

Double combo ! :langue:

Bonne lecture ! :coucou:

Par

En réponse à mekinsy

Le 17 décembre 2020 à 9h37, tu ne semblais pas être en accord avec les propos tenus par les médias français...:wink:

Tu changes d'avis comme de chemises.:biggrin:

Je lis Capital...:jap:

Sinon plus bas en dessous de l'article que tu as mis en lien, et plus récent:

https://www.capital.fr/economie-politique/la-facture-astronomique-dun-no-deal-brexit-pour-leconomie-du-royaume-uni-1382496

https://www.capital.fr/economie-politique/la-catastrophe-economique-que-connaitrait-le-royaume-uni-en-cas-de-hard-brexit-1313918

Double combo ! :langue:

Bonne lecture ! :coucou:

   

J'ai être trop vite, je voulais mettre deux article de septembre/octobre 2020, au plus près de l'actualité:

https://www.capital.fr/entreprises-marches/brexit-le-spectre-du-no-deal-resurgit-la-livre-sterling-sous-pression-1379970

:brosse:

Par

En réponse à mekinsy

Le 17 décembre 2020 à 9h37, tu ne semblais pas être en accord avec les propos tenus par les médias français...:wink:

Tu changes d'avis comme de chemises.:biggrin:

Je lis Capital...:jap:

Sinon plus bas en dessous de l'article que tu as mis en lien, et plus récent:

https://www.capital.fr/economie-politique/la-facture-astronomique-dun-no-deal-brexit-pour-leconomie-du-royaume-uni-1382496

https://www.capital.fr/economie-politique/la-catastrophe-economique-que-connaitrait-le-royaume-uni-en-cas-de-hard-brexit-1313918

Double combo ! :langue:

Bonne lecture ! :coucou:

   

"Le 17 décembre 2020 à 9h37, tu ne semblais pas être en accord avec les propos tenus par les médias français...:wink:"

Ne pas confondre les propos d'un journaliste qui suit la ligne éditoriale qu'on lui impose et les propos d'un expert en économie. Deux choses différentes...

 

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