BMW rime avec culture
Chez BMW, voiture rime avec culture. La firme bavaroise fête cette année les cinquante ans de son implication dans le domaine artistique.
Tout a commencé en 1971 quand Eberhard von Kuenheim, le pédégé de l’époque, commissionna Gerhard Richter pour la réalisation de trois toiles monumentales destinées à être exposées dans le hall du siège de l’entreprise.
Depuis cette collaboration avec un des géants de l’art en Europe, BMW a multiplié ses engagements et ce, dans les domaines les plus divers : du jazz à l’opéra, de l’art populaire aux créations les plus savantes, de la peinture à la photographie.
La démarche de BMW refuse l’élitisme. Elle s’attache au contraire à intéresser un public large et lui permettre d’approcher des formes de création qui ne lui sont pas forcément familières. C’est ainsi que BMW a participé à la réouverture, en 2017, du Staatsopera Unter den Linden à Berlin, un « opéra pour tous » qui donne des concerts gratuits en plein air. Daniel Barenboim en personne avait été appelé pour cet événement !
Pour les amateurs de sport automobile, l’initiative la plus connue de BMW porte sur les « Art Cars ». Depuis 1975, l’idée originale de Hervé Poulain, le médiatique commissaire-priseur français d’Artcurial, une longue lignée de machines de course ont été sublimées par le geste des artistes de premier plan, d’Alexander Calder à des jeunes prodiges comme Cao Fei.
Pour la saison 2021, BMW a demandé à quatre designers d’imaginer des livrées pour quatre M4 GT4. Ils ont tous été recrutés au sein des studios du groupe : Julia Quentin de BMW Motorrad, Simon Haynes chez Rolls-Royce, Wesselka Mandowa-Maier du studio californien Designworks et Li Tianyuan, membre de l’équipe de BMW i.
L’art colle à la peau des BMW.
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