L'idée originale du malus automobile pour financer le bonus par les pollueurs était intéressante. Mais elle est aujourd'hui tellement détournée d'un côté par les constructeurs, et poussée à son paroxysme de l'autre par l'Etat qu'elle en devient absurde et caricaturale.
Les temps sont difficiles pour les concessionnaires et agents. Entre la digitalisation du processus de vente et la distribution hors de chez eux en passant par le changement de logo de leur marque et la bascule vers le modèle électrique qui réduira l'entretien en atelier, les professionnels de la distribution font l'addition. Et elle est lourde.
Remplacer le moteur d’une hybride par une turbine, l’idée était élégante, mais hélas bien trop compliquée, impossible à mettre en œuvre. Pas pour les Chinois qui commencent à la produire en masse. Mais comment font-ils ?
La présentation du nouveau logo Peugeot nous fait repenser à l'E-Legend, une déception si belle.
L'auteur-compositeur Bruce Springsteen est apparu, au cours de la mi-temps du Super Bowl le 7 février dernier, dans une pub pour l'une des marques américaines du groupe Stellantis, Jeep. Pendant deux minutes, il a exhorté ses concitoyens à se rassembler après les événements du Capitole. Un affichage de bons sentiments de pure façade ? Pas forcément.
L'électrique est parti vers un futur meilleur, proclament ses artisans et partisans. Droit dans le mur, alertent des Cassandre. Plus la voiture électrique avance, moins je vois où elle va ; plus j’en apprends, plus j’ai des doutes.
C'est l'évènement du moment : la nouvelle 508 PSE est la Peugeot de série la plus puissante de l'histoire de la marque. Pourtant, son accueil médiatique est mitigé. À l’origine des critiques, le manque de sportivité de l'auto est mis en avant. Une confusion née du message et du décorum de son lancement.
Les zones à faibles émissions (ZFE) vont se multiplier en France cette année. Et l’an prochain, les critères d’ancienneté seront durcis et les PV envoyés par des systèmes automatiques. Respirera-t-on mieux ? Hélas, non…
La décision de la nouvelle administration Biden de revenir dans l'accord de Paris sur le climat, et, probablement, de durcir les normes d'émissions C02 très légères de l'ère Trump devrait logiquement inquiéter les constructeurs locaux. Or il n'en est rien, car ils espèrent en tirer des subsides puisqu'ils respectent déjà les normes internationales sur lesquelles les Etats-Unis devraient rapidement s'aligner.
De la mesure des consommations et des masses, à la mesure des paroles et des attentes.