C'est la première vraie nouvelle Lotus depuis plus de dix ans. La marque anglaise, qui a été reprise par le géant chinois Geely, parent de Volvo, va se tourner vers l'électromobilité pour son grand retour. L'auto s'appellera Type 130 et aura droit à un millier de chevaux. Ceci avant la venue d'autres modèles plus classiques, comme un SUV.
L'hybridation, voilà une technologie bien peu commune chez Lotus qui s'est uniquement concentré jusqu'ici sur les moteurs thermiques. Mais la marque anglaise cède tout de même aux enchères sa première Evora à prolongateur d'autonomie. Comme un signe de ce que va être le futur de Lotus.
Le constructeur d'outre-Manche Lotus lance un grand avis de recherche pour sa première auto assemblée à la main par Colin Chapman en 1948. Le fils du fondateur de la marque Clive Chapman est à l'origine de la manœuvre.
C'est évidemment une excellente nouvelle pour Lotus, si cela venait à se confirmer. La rumeur annonce en effet que Geely, le nouveau propriétaire de Lotus, prévoirait d'investir près de 2 milliards d'euros pour relancer la marque anglaise, qui pourrait alors véritablement changer de statut.
Conséquence certainement directe du rachat de Lotus par le géant chinois Geely, Jean-Marc Gales, qui était à la tête du constructeur anglais depuis 2014, cède sa place au vice-président de Geely, le Chinois Feng Qingfeng.
Pour un constructeur qui s'est fait une spécialité des autos de 700 kg, la vision d'un SUV paraît tout à fait incongrue. Et pourtant, le constructeur anglais rappelle que le SUV était aussi un grand outrage à l'époque chez Porsche... avant qu'il ne sauve le constructeur allemand.
Le renouveau de Lotus est en marche avec le renouvellement prochain de deux sportives, qui sont les Elise et 3-Eleven. La marque anglaise prépare aussi un SUV, qui débarquera plus tard. Celui-ci sera, sans grande surprise finalement, basé sur une plateforme de SUV Volvo, la marque cousine du groupe créé par le géant chinois Geely.
Une page de l'histoire de Lotus s'est tournée avec le rachat par le géant chinois Geely. Le constructeur anglais est aujourd'hui un peu rassuré avec les finances solides de son nouveau propriétaire. Lotus regarde désormais l'avenir avec ambition : deux nouvelles sportives et surtout un SUV sont au programme.
Jean-Marc Gales, directeur général de Lotus, est un homme consciencieux. Souhaitant connaître ses produits sur le bout des doigts, il n'hésite pas chaque soir à choisir soigneusement entre les multiples versions d'Evora, d'Exige et d'Elise à sa disposition pour quitter les locaux de la marque situés à Hethel, dans le Norfolk anglais, pour rentrer chez lui.
Depuis le rachat de Lotus par le géant chinois Geely, déjà propriétaire de Volvo, la marque anglaise respire enfin et voit l'avenir plus sereinement. Le patron de Geely, lui, a d'énormes ambitions pour le constructeur britannique : retrouver son aura d'antan, et notamment revenir au niveau de Ferrari et Porsche. Rien que ça.
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