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En manque de matières premières, les constructeurs annoncent des délais de plus en plus longs avant de livrer un véhicule neuf. Une situation qui dure désormais depuis une année et qui a incité certaines marques à assurer leur rentabilité coûte que coûte. Leur méthode ? Puisqu’il n’est plus possible de compter sur les volumes pour engranger les milliards, autant que chaque auto livrée soit plus rentable que jamais. Certes, les coûts de fabrication ont augmenté mais une poignée a clairement abusé en matière de hausse de prix. Voici la liste des marques qui ont eu la main très (trop ?) lourde depuis le 1er janvier 2021.

Le premier modèle électrique de Jeep est un SUV urbain, qui sera lancé en 2023. Deux premières images ont été publiées.

Le label occasion des marques généralistes du groupe franco-italien veut s’imposer comme une marque à part entière. Il doit donc développer son offre de produit.

Le nouveau Grand Cherokee, uniquement disponible en hybride rechargeable, fait ses débuts avec une version de lancement tout équipée.

Pour braquer les projecteurs sur un modèle en mal de médiatisation, les séries spéciales ou limitées sont un artifice marketing vieux de plusieurs décennies. Mais, à y regarder de plus près, toutes ne présentent pas un intérêt financier égal. Nous avons décortiqué les offres les plus en vue pour en avoir le cœur net.

Le plus emblématique des 4x4 made in USA souffre d’un défaut de conception dont les conséquences peuvent être particulièrement graves.

Le Compass et le Renegade inaugurent un bloc 1.5 de 130 ch associé à un moteur électrique intégré à la boîte de vitesses, capable de faire avancer seul l'auto.

Le Jeep Gladiator est désormais disponible en France. Cet imposant pick-up dérivé du Wrangler est catalogué comme utilitaire et échappe donc à tout malus. Découvrez ci-dessous les premières images en live de l'essai.

A l’instar des Suzuki Vitara et S-Cross, Jeep vient également d’être épinglé par Bruxelles pour causes de rejets polluants trop importants.

Les filiales européennes de Stellantis ont identifié un problème sur des véhicules initialement destinés aux marchés d’Amérique du nord mais qui ont pu être importés en Europe à titre individuel.