
C'était jusque là comme un paradoxe : la huppée et bardée d'électronique Aprilia RSV4 n'était pas affublée d'une des plus élémentaires évolutions technologiques qui a ouvert cette ère dévolue aux puces savantes : l'ABS. La faute à un corps aussi musclé que compact où positionner l'appareillage salvateur relevait de la gageure.