La salon de Val d’Isère ne se compose pas simplement que d'expositions de motos statiques. Il y a également des essais possibles mais aussi des animations. Découverte du show trial.

On commence à bien connaître l'i8. C'est pourtant toujours un plaisir de la revoir. BMW gâte les visiteurs du Salon de Val d'Isère en exposant la variante découvrable.

Depuis quelques mois, la BMW i3 profite d'une plus grosse batterie, ce qui lui a permis de gagner en autonomie. A Val d'isère,  c'est la version S,  c'est à dire la plus "sportive", qui a les honneurs du stand.

Les activités de plein air (Enduro, trial) sont les deux disciplines qui sont le plus adaptées à l’électricité, d’où de nombreuses nouveautés dans ce domaine. Plusieurs marques se lancent donc sur ce marché à l’image d’Electric Motion, qui dévoilait sa nouvelle gamme.

Le salon de Val d'Isère est toujours l'occasion de découvrir des véhicules électriques hors du commun. Cette année, c'est la Swincar e-Spider qui a retenu notre attention.

La 5e édition du Val d'Isère devait permettre de découvrir la X E 5, moto électrique destinée aux enfants âgées entre 4 et 10 ans, malheureusement cette dernière n'était pas finalement disponible. On s'est donc reporté sur la version 2019 de la Freeride E-XC. Découverte.

Entreprise française, Pink Mobility est entrée l'an passé dans le Top 10 des marques de scooters les plus vendues en France avec 600 exemplaires écoulés. Après avoir attaqué le marché des professionnels,  le constructeur s'attaque aujourd'hui aux particuliers avec le Me et le Style, deux scooters électriques.

La 5e édition du Salon de Val d'Isère fait une nouvelle fois la part belle à la moto. Scooters, moto de cross ou de trial, il y en a pour tous les goûts et gros point fort, il est même possible de les essayer.

Quand on pense à un salon du véhicule électrique, on pense de suite à Tesla, le constructeur américain est en effet un des plus grands ambassadeurs de ce type de modèles et cela tombe bien puisqu'il a fait le déplacement.

C’est à l’occasion d’une interview chez nos confrères de France Info, qu’Élisabeth Borne, ministre des transports a lâché cette phrase pour le moins étonnante. Au-delà des mots et si on lit entre les lignes, on peut y voir également la volonté de gouvernement de durcir la prime à la conversion.