Alors que le marché automobile français continue sa chute, y-a-t-il de quoi s’offrir une voiture sous le sapin avec une bonne remise ?

Hyvia, la coentreprise de Renault développant des utilitaires fonctionnant à l’hydrogène, serait en cessation de paiement. Pas sûr qu’on puisse un jour acheter des Renault équipées de cette technologie.

Peugeot montre la version améliorée de son pick-up. Hélas, le rival des Ford Ranger et autres Volkswagen Amarok ne veut toujours pas d’adapter aux normes du Vieux continent.

Le pape François passe à l’électrique : son nouveau Mercedes Classe G, très pimpant, abandonne le moteur thermique. Et il a l'exclusivité d’une version « cabriolet ». Les voies du seigneur sont impénétrables, mais pas la carlingue du vénérable tout-terrain allemand.

La nouvelle citadine électrique et sa cousine sportive de chez Alpine ne parviennent pas à décrocher la note maximale au crash-test de l’EuroNCAP. Elles ne font pas mieux que le MG ZS, le nouveau SUV chinois citadin.

Tout le monde se moque de Jaguar depuis quelques jours, mais il semblerait que le « buzz » suscité par sa nouvelle campagne de communication ait des effets bénéfiques sur les ventes de ses modèles sur le marché de l’occasion.

Avec jusqu’à 10 000€ de remise sur le SUV ZS et la MG5, la marque anglaise sous propriété chinoise brade totalement ses voitures électriques. Si vous cherchez un modèle à brancher le moins cher possible, c’est peut-être le moment.

Alors que les Italiens reprennent la tête du groupe Stellantis, que vont-ils faire des programmes sportifs dont celui de Peugeot Sport en endurance avec la 9X8 qui n’a toujours pas donné les résultats escomptés ? Le traumatisme de la fin brutale de la précédente 908 diesel n’a toujours pas été oublié.

Pendant que vous hésitez à ajouter 500€ pour des jantes plus belles, le client de Bugatti dépense en moyenne 1 000 fois ce prix lorsqu’il choisit les options de son nouveau modèle. Oui, c’est n’est pas exactement le même monde…

Pressenti pour prendre la direction du groupe Stellantis en remplacement de Carlos Tavares après avoir contribué au redressement de Renault, Luca de Meo explique qu’il n’a « pas fini le travail ».