Cette fois, il n’a pas pu faire de miracles. Johann Zarco a subi tout au long de ce Grand Prix d’Italie terminé douloureusement à la dixième place. Le Français en tirera les enseignements pour une suite des événements qui aura lieu dans quinze jours en Catalogne.
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On ne l’attendait plus et il est arrivé à un moment où on lui disait qu’il serait bien qu’il soit attendu ailleurs. La relation entre Ducati et ses pilotes est décidément toujours compliquée, mais le fait est que Jorge Lorenzo a enlevé sa première victoire sur la moto italienne lors du Grand Prix d’Italie. Et alors qu’il est acquis que Por Fuera ne roulera pas en rouge en 2019. Un pied de nez ? On ne sait. Mais Márquez a chuté, Dovizioso est second et Rossi troisième… Et deuxième au championnat !
Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu Jorge Lorenzo à pareille fête lors d’une séance qualificative de MotoGP et pour ainsi dire jamais depuis qu’il est sur une Ducati. En Italie, il aurait pu jouer un bon coup en prenant la pole position, mais c’est un Italien qui s’en est chargé en la personne de Valentino Rossi. Il reste au Majorquin à remporter la victoire ce dimanche sur le tracé du Mugello. Ce qui ne changera pas un sort déjà scellé puisqu’il ne sera pas pilote officielle Ducati en 2019.
Cette fois, ça ne l’a pas fait pour un Johann Zarco qui ne s’est pas encore réconcilié avec le tracé du Mugello. En progrès hier, vendredi, ce samedi a été plus problématique, avant notamment une chute avec les qualifications qui a entamé son enthousiasme. Le pilote Tech3 Yamaha ne s’élancera que neuvième, mais sur ce tracé, ça n’a rien de rédhibitoire…
Le public italien en rêvait et Valentino Rossi l’a fait. Depuis 2016 et le Japon, le Doctor n’avait pas réussi à se hisser au sommet d’une grille de départ. Il a renouvelé avec cette position e pointe au meilleur endroit possible, soit au Mugello pour son Grand Prix d’Italie. Maintenant, il faut renouer avec un podium qui le fuit sur ses terres depuis 2015. Et pourquoi même avec la victoire qu’il n’a plus connue devant les siens depuis 2008 !
On ne l’attendait pas à pareille fête, mais il répond toujours présent lors des grands moments. Valentino Rossi a mis son casque dédié pour son Grand Prix d’Italie et il est parti avec une Yamaha compliquée à cerner dans une qualification où il n’était pas le favori. Et pourtant, le voilà au sommet de la grille de départ après un chrono record au Mugello. Le Doctor n’avait plus connu une telle joie depuis le Japon 2016…
En arrivant sur ses terres du Mugello, Valentino Rossi était inquiet. Lors de récents tests sur ce même tracé, il n’avait pas été convaincu par les performances d’une Yamaha qui, au passage, n’a rien gagné depuis quinze courses. Mais le premier jour du Grand Prix d’Italie ne s’est pas si mal passé, même si envisager ne serait-ce qu’un podium est encore présomptueux. Le Doctor est dans le top 10 au terme du vendredi et voit Zarco quatrième tout comme Viñales second devant lui avec une Yamaha.
Après son abandon sur ses terres du Mans, Johann Zarco s’est remis la tête dans le guidon pour retrouver l’arrivée et les points sur le tracé du Mugello. Un circuit qui accueille le Grand Prix d’Italie et sur lequel le Français doit en passer par un temps d’adaptation. Reste que les choses vont dans le bon sens puisque le voilà quatrième. Mais il reste encore à faire…
Entre rumeurs, grosses chutes et un outsider en tête, ce n’est rien de dire que le Grand Prix d’Italie a commencé sur les chapeaux de roues. Se sachant éconduit par Suzuki et préféré au jeune Joan Mir, Andrea Iannone s’est fâché tout rouge que sa moto bleue pour terminer en tête cette première journée au Mugello. Pirro, sur sa machine rouge, nous a fait très peur tandis que Márquez y est aussi allé de sa chute. Zarco est quant à lui quatrième !
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