
Ce sont les avocats de l'Automobile Club des avocats (ACDA) qui ont mis au jour cette affaire. C'est ce même groupe qui avait révélé il y a plus d'un an, l'illégalité des radars de tronçons. Pour ce cas, il s'agit d'une faille qui rendrait caduques les suspensions de permis prononcées par les préfets.