La sécurité des voitures de la dernière génération tourne autour de la fiabilité de leur dispositif de connexion. Certains véhicules sont même presque autonomes et c’est encore cette aliénation du conducteur qui cause souci. Mais les bonnes vieilles méthodes pour un vol ne tombent pas pour autant en désuétude.
Les plus grands fans du moteur rotatif Mazda ne vont pas en croire leurs yeux : une 767B passera prochainement sous le marteau des enchères. L'auto fait partie des trois exemplaires de course fabriqués par la firme japonaise à la fin des années 80. Pour ne rien gâcher, sa livrée est quasiment identique à celle de sa grande sœur 787B victorieuse des 24 Heures du Mans.
Heureux sont les ignorants dit-on et dans le cas de l’industrie automobile, on se persuade qu’il en était mieux ainsi avant. Avant quoi ? Le « dieselgate » bien sûr qui a porté un coup à la crédibilité de cet univers jusque-là libre comme l’air. Mais maintenant qu’on les identifie comme des pollueurs, l’atmosphère a changé. Volkswagen a lui seul a ébranlé un édifice que l’on croirait reposer sur du sable. Le spleen gagne des dirigeants qui intéressent la justice. Le patron du groupe Fiat Chrysler a même le moral à zéro.
Les grandes marques de produits de luxe sont régulièrement les victimes des spécialistes de la contrefaçon, mais cette fois, c'est une affaire de grande ampleur qui a été démantelée en Espagne. Un atelier fabriquait... de fausses Ferrari.
On n'en a pas fini avec le fantasme de la voiture volante. Sauf que PAL-V, une société néerlandaise, vient de commercialiser officiellement son modèle de voiture volante, ou de gyrocoptère roulant, selon comment on le perçoit. Alors ça y est ? On y est vraiment ?
À quelques heures de la Saint-Valentin, un sondage révèle que les Français aiment draguer et faire l'amour à bord de leurs autos. Si la voiture est un objet de séduction, elle peut dans certains cas être un repoussoir.
Le parfum du scandale du dieselgate commence à envelopper les hauts dirigeants de Volkswagen qui se voient contraints de s’expliquer devant la justice et autres commissions d’enquête. Il en est une en Allemagne qui tente de faire son office et elle est d’ordre parlementaire. Pour travailler, elle doit procéder à des auditions. Or on apprend que l'ex-président du directoire puis du conseil de surveillance de Volkswagen Ferdinand Piëch refuse de s'exprimer devant elle.
Dans quelques mois à présent, notre pays connaîtra une passation de pouvoir au plus haut sommet de l’État. Fatalement, puisque celui qui est actuellement à la présidence s’est d’ores et déjà résigné à ne pas remettre son mandat en jeu. Des moments qui peuvent être difficiles et compliqués. Ce qui appelle d’autant plus à la vigilance. Car des choses peuvent disparaître durant la transition. Au Ghana par exemple, 200 voitures du parc automobile présidentiel se sont volatilisées.
Gouverner c’est prévoir dit-on. Pour ce qui est des constructeurs automobiles dans la tourmente d’un « Dieselgate » initiée par Volkswagen, cette anticipation a pris la forme de « provisions » sur les comptes au cas où il faudrait faire face à des mauvais jours. Ceux-là peuvent s’annoncer lorsque certains signes avant-coureurs pointent à l’horizon. Par exemple un dossier transmis par une administration compétente à la justice. C’est le cas de Renault en France, qui se trouve par ailleurs sur une liste non exhaustive. Mais le losange est sûr de son fait. Alors pourquoi faire des provisions ?
Découvrir sa voiture abîmée par un coup de portière ou de chariot sur un parking de supermarché est quelque chose de très énervant. L'expérience vécue par le propriétaire de cette Ford Mustang est encore plus désagréable. Une femme s'est en effet arrêtée devant son garage pour vandaliser sa voiture. La police locale est prête à récompenser la personne capable de l'identifier.
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