En février, le conseil d'administration de Renault doit désigner un successeur à Carlos Ghosn. Mais celui-ci ne va pas beaucoup s'éloigner de la direction du Losange.
Electrification, voiture autonome, relance d'Opel et retour aux Etats-Unis: le patron de PSA Carlos Tavares s'est exprimé sur la stratégie du groupe dans les dix ans à venir.
L'incroyable succès du Peugeot 3008, fabriqué à Sochaux, a-t-il mis fin au règne de la Toyota Yaris, produite dans le nord de la France ?
Cette année, un demi-million de voitures devrait sortir des chaînes d'assemblage de Sochaux, un niveau inédit depuis les années 1970 !
Souvent les passionnés d’automobile sont en mode « tout fout l’camp », regrettant notamment les temps d’avant. La fermeture du showroom Citroën des Champs-Élysées devrait redonner du grain à moudre au club de nostalgiques des promenades dominicales parisiennes. Des réfractaires au changement certes, mais aussi des passionnés qui prouvent que l’auto n’est pas (encore) un objet comme les autres.
Dix mois après le deal entre Carlos Tavarès et Mary Barra scellant l’accord de vente d’Opel par PSA pour 1,3 milliard d’euros, PSA fait volte-face et réclame un rabais de près de la moitié de la somme. Le prétexte : un vide sidéral au programme en matière de baisse de C02 de la gamme de l’allemand. Une lacune pourtant connue. En cause surtout : un blocage de la fabrication de l’Opel Ampera-e qui pourrait être un bon motif pour obtenir une ristourne.
PSA a découvert qu'Opel n'arriverait pas à respecter la future réglementation européenne en matière de CO2. Il risque de payer de lourdes amendes. Il souhaite donc que General Motors le compense en remboursant une partie de la somme versée à l'achat.
Quelques semaines après l’annonce par Carlos Tavares du plan de sauvetage d’Opel, première application de la nouvelle politique du groupe avec le changement d’affectation de l’usine de Trnava en Slovaquie au profit d’Opel.
PSA: 1 milliard d'euros investis en Inde?
, mis à jour 21
D’après Bloomberg, le groupe PSA s’apprêterait à investir 1 milliard d’euros en Inde, en complément des 100 millions annoncés au mois de janvier dernier. Objectif : construire un site d’assemblage et une usine de moteurs, et renforcer sa présence dans un pays à l'énorme potentiel automobile.
L'indien Tata aurait investi 900 millions de dollars dans Faraday Future, un constructeur qui n'a pas encore commercialisé son premier modèle et est en proie à de grandes difficultés.
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