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À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

Dans Nouveautés / Restyling

Paul Pellerin

La Dacia Spring vient d’être restylée. Proposée en deux finitions (Expression et Extreme) avec un électromoteur de 65 ch et une batterie de 26,8 kWh, la Spring qui vient de Chine ne bénéficie plus du bonus écologique de 4 000 €. Vendue à partir de 18 900 €, cette petite électrique à l’autonomie limitée n’est plus aussi intéressante, d’autant que de nombreuses citadines thermiques sont plus polyvalentes qu’elle. Nous en avons choisi trois dans ce nouvel « à contre-courant ».

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

 

À contre-courant

Les eurodéputés l’ont décidé : plus aucune voiture neuve, essence, hybride ou diesel ne pourra être commercialisée à partir de 2035. Place donc aux voitures électriques dont les ventes augmentent, mais qui ne représentent pour l’instant qu’un peu plus de 2 % du parc roulant en France.

Mais encore trop cher ces voitures électriques ? Pas assez autonomes ? Sans doute, et c’est pourquoi Caradisiac vous propose de ne pas oublier le « thermique » si vous souhaitez acheter une auto, qu’elle soit neuve ou d’occasion. D’ici à 2035, vous avez encore le temps de faire vos emplettes dans les gammes thermiques des constructeurs.

Vous êtes d’ailleurs nombreux à avoir fait ce choix. Ce n’est pas un hasard si le diesel représente (sur l’année 2023) encore plus de 70 % des carburants distribués en France et qu’il représente 50 % des achats de voitures d’occasion. En revanche, il est en baisse en ce qui concerne les voitures neuves (l’offre des constructeurs se réduisant aussi) passant de 15,8 à 9,7 % en 2023. Quant à la voiture à moteur essence elle représente encore 36,2 % des ventes en 2023, les motorisations hybrides (full hybride, mild hybride et hybride rechargeable) atteignant désormais les 33,3 % des ventes de voitures neuves.  

Avec sa rubrique « À contre-courant », et au-delà du jeu de mots, Caradisiac veut attirer votre attention sur des modèles thermiques plus intéressants que leurs concurrents électriques. Non, le « thermique » n’est pas mort.

 

 

 

 

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« Le courant » : Dacia Spring de65 ch, batterie 26,8 kWh, finition Extreme à 19 900 €.

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

La Dacia Spring, grâce à un restylage, devient plus moderne, que ce soit en ce qui concerne son design comme son offre d’équipement. Ainsi la Dacia Spring restylée s’approprie les codes stylistiques du nouveau Duster avec un grand bandeau noir faisant la jonction entre les feux de jour tandis que les feux de croisement et de route se situent à l’étage du dessous. Le capot est très horizontal, le bouclier dans cette finition Extreme peut recevoir des stickers qui peuvent être personnalisés. La partie arrière s’inspire également du  nouveau Dacia Duster avec un large bandeau noir entre les feux qui ont une signature lumineuse proche de celle du grand frère, là aussi des stickers peuvent égayer le bouclier. Les ailes et les portes avant et arrière ont été modifiées avec le restylage, ce qui fait que seulement le toit de cette auto n’a pas subi de transformation alors que la base technique du véhicule reste identique au modèle précédent. Au passage, la nouvelle Dacia Spring perd ses barres de toit qui de toutes les façons n’avaient qu’une fonction décorative. Le changement on le constate aussi dans l’habitacle avec une nouvelle présentation bien plus moderne. On a droit à une instrumentation numérique de 7 pouces avec affichage personnalisable, l’écran multimédia qui trône au sommet de la planche de bord est 10,1 pouces avec cette finition haut de gamme Extreme. La Dacia Spring perd le style rondouillard de la précédente mouture, se dote d’un nouveau volant réglable en hauteur, d’un vrai levier de vitesses et plus d’une molette centrale tandis que les boutons de lève-vitres intègrent désormais le milieu de la planche de bord et sont donc plus accessibles. L’ensemble fait plus sérieux et cossu qu’auparavant. L’offre d’équipements de série progresse avec : freinage auto d’urgence avec détection piétons et deux roues, reconnaissance des panneaux de signalisation et alerte de survitesse, aide au parking arrière, signal d’arrêt d’urgence, alerte de changement de voie, aide au maintien dans la file, système de surveillance de l’attention du conducteur, appel d’urgence.

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

À bord de la Dacia Spring restylée, il n'y a aucun changement aux places arrière, c'est normal puisque l'on a une base technique identique. On dispose toujours d'une banquette arrière où la place pour les jambes est comptée (l’auto ne mesurant que 3,70 m de long). On se console avec un bon volume de coffre de 270 litres, avec sous le plancher un espace de 18 litres pour y loger les câbles de recharge, câble que l’on peut aussi mettre à l’avant dans un « frunk » (35 litres) accessible en ouvrant le capot moteur. Si l’on n'a pas encore essayé la nouvelle venue sur la route, étant donné que la base reste identique à la version actuelle il ne devrait pas y avoir de changement. On devrait toujours se trouver face à une voiture qui se montre à son aise en ville où sa maniabilité fait merveille. Grâce au couple de 125 Nm de l’électromoteur de 65 ch, on s’insère rapidement dans la circulation. Sur route, on évitera de faire des folies, en partie à cause de la monte pneumatique peu adaptée qui lâche prise au moindre virage, heureusement l’ESP veille au grain. Pour ce qui est de l’autonomie, Dacia annonce 225 km et il sera toujours possible de s’approcher de ce kilométrage en ville. Sur la route, ce sera plus proche des 150/160 kilomètres. Quant à la recharge, la batterie étant petite on peut recharger sur un chargeur rapide de 20 à 80 % en 45 minutes avec le chargeur embarqué de 30 kW qui est en option à 600 €. Sinon le chargeur de série de 7 kW permet une charge de 20 à 100 % sur une prise domestique en moins de 11 h, ou en 4 h sur une Wall Box 7 kW. Enfin il y a une nouveauté avec la finition Extreme, on peut utiliser la Dacia Spring comme source d’énergie (capacité de recharge V2L) pour alimenter des appareils ménagers.

Si vous n’avez pas envie de passer 45 minutes sur la route à recharger votre auto grâce au chargeur de 30 kW en option, ou bien que vous n’avez pas la possibilité de recharger chez vous. Si vous avez besoin d’une auto qui peut rouler sur l’autoroute pendant plusieurs centaines de kilomètres sans ravitailler, alors la Dacia Spring n’est pas faite pour vous ! Pas de souci, nous vous proposons trois alternatives thermiques et polyvalentes à la Dacia Spring qui pourront vous satisfaire. 

 

Le « contre-courant » avec une motorisation essence atmosphérique : Dacia Sandero 1.0 SCe 65 ch BVM5, finition Expression à 13 700 € (Malus 2024 : + 125 €).

 

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

S’il n’existe pas de Dacia Spring à moteur thermique, dans la gamme de la marque roumaine on trouve la citadine Dacia Sandero qui se montre bien plus polyvalente que la Spring. Même avec le moteur d’entrée de gamme qui est un bloc atmosphérique de 65 ch on sent que cette voiture est capable de voyager. Bien entendu, son terrain de prédilection reste la ville où grâce aux premiers rapports courts de la boîte de vitesses elle peut s’immiscer dans la circulation sans aucun souci. Mais par rapport à l’électrique Spring c’est sur la route et même l’autoroute qu’on trouvera la Dacia Sandero SCe 65 ch tout aussi agréable à conduire. Si la puissance est limitée et le couple tout autant (95 Nm) on n’a aucune difficulté à prendre l’autoroute et à s’y maintenir à 130 km/h. Il faut cependant bien programmer les dépassements et ne pas hésiter à tomber un rapport pour les réaliser en toute sécurité. Grâce à un poids contenu, cette auto ne consomme pas trop et une moyenne de 6 l/100 km sur un parcours mixte est possible. On peut même faire moins sans abuser d’écoconduite. De plus, la qualité du châssis (la plateforme provient d’une Renault Clio 5 même si elle est plus basique) permet de rouler en toute sécurité et dans le confort, les suspensions filtrant bien les inégalités de la route.

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

En finition extrême la Dacia Sandero est très bien équipée et bénéficie d’un volant réglable en hauteur et en profondeur avec un siège conducteur réglable en hauteur. On a droit également à la climatisation manuelle, les rétroviseurs électriques, les vitres électriques arrière, l’écran tactile de 8 pouces Media Display qui bénéficie d’une réplication smartphone, le radar de recul, l’allumage automatique des essuie-glaces… Si les jantes alliage sont en option, les feux à LED sont de série et le style général du modèle est très réussi avec l'intégration du nouveau logo de la marque roumaine. L’habitacle de la Sandero affiche une belle modernité et n’est résolument plus « low-cost » même s’il reste toujours de nombreux plastiques durs. Grâce à son gabarit de plus de 4 mètres de long, la Dacia Sandero est une bonne élève en ce qui concerne son habitabilité et deux adultes se sentiront à l’aise à l’arrière. Quant aux bagages, le coffre est très profond et il affiche une capacité de 328 litres et dispose même d’un logement pour la roue de secours (option roue de secours à 200 €). En ce qui concerne le prix, il est toujours attractif et cette Dacia Sandero SCe 65 ch en finition Expression se négocie à 13 700 €, un tarif auquel s’ajoute 125 € de malus écologique. Mais pour 13 825 €, soit 6 000 € de moins que la Dacia Spring, on a une voiture capable de vous emmener partout.

 

Le « contre-courant » à motorisation mild-hybrid : Fiat Panda 1.0 Hybrid 70 ch BVM6, finition Cross à 15 600 €.

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

Avant qu’elle ne se transforme en Fiat Pandina (changement d’appellation, nouveaux équipements et lifting du tableau de bord) en juillet prochain, l’actuelle Fiat Panda en finition Cross est toujours au catalogue du constructeur avec son moteur essence mild-hybrid de 70 ch. Un bloc qui est arrivé dans la gamme de la mini-citadine italienne en 2020 et qui se montre à son avantage malgré un couple réduit à 92 Nm. Les reprises sont plutôt vives grâce à une boîte à six vitesses dont les premiers rapports sont courts afin de faciliter l’intégration de cette petite auto dans la circulation urbaine. Sur la route et l’autoroute, on est moins détendu et il faut rétrograder au moindre faux plat. Malgré tout, cette Fiat Panda Cross ne rechigne pas à faire des kilomètres et même en étant accro à l’enfoncement de la pédale de droite, il sera difficile de dépasser les 5,2 l/100 km sur un parcours mixte. On apprécie également le son rauque de ce moteur, les ingénieurs de la marque ayant travaillé l’acoustique et s’est réussi, d’autant que sur l’autoroute le bruit s’estompe pour laisser les oreilles en paix.

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

Pas question avec un moteur aussi peu puissant de faire une sportive de la Fiat Panda, d’autant que le châssis ne le supporterait pas. La plateforme qui équipe la mini-citadine transalpine datant d’une vingtaine d’années, même si elle a été revue en 2012. C’est pourquoi à l’image des autos d'un certain âge, la Fiat Panda se montre confortable, mais prend du roulis en virage sans que la sécurité soit mise à mal pour autant. Autant dire qu'il est préférable de conduire souplement et d'utiliser à bon escient la direction au flou artistique. L’allure générale du modèle ne traduit pas pour autant sa conception ancienne, avec ses protections plastiques et ses skis de protection à l’avant et à l’arrière, la Fiat Panda Cross affiche l’allure d’un mini-SUV. À bord, la planche de bord se pare de jolies rondeurs et se révèle très pratique avec une boîte à gants de belle dimension. On a droit aussi à un écran tactile de 7 pouces qui est arrivé en même temps que le restylage d’octobre 2020, la climatisation auto, des jantes acier bicolores, une banquette à trois places, etc. Malgré sa petitesse (3.68 m de long) les places à l’arrière ne sont pas aussi ridicules que ça et deux adultes peuvent les occuper sans problème. Quant au volume de coffre, il est assez limité avec une capacité de 225 litres. Quant au prix de la Fiat Panda Cross, à 15 600 € il permet de réaliser une belle économie par rapport à la Dacia Spring.

 

Le « contre-courant » avec une allure de SUV : Toyota Aygo X 1.0 VVT-i 72 ch BVM5, finition design à 19 900 €.

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

La  Toyota Aygo X est une Toyota Aygo qui s’est convertie à la mode du SUV. Des grosses protections d’ailes en plastique, une garde au sol surélevée et le tour est joué. Cette manière de coller à la mode du SUV permet aussi à Toyota de vendre plus cher une mini-citadine. À ce propos, si la Toyota Aygo X que nous vous proposons en finition Design comme alternative à la Dacia Spring est affichée au catalogue à 19 900 €, sur le site Toyota elle ne vous coûtera que 17 900 €, le constructeur octroyant 2 000 € de remise pour tout achat d’une Aygo X neuve. Pour ce tarif vous aurez droit à une Toyota Aygo X bien équipée puisqu’elle dispose de série de : climatisation manuelle, caméra de recul, régulateur de vitesse adaptatif, jantes 17 pouces, peinture métallisée avec carrosserie biton, écran tactile 8 pouces avec Apple Car Play et Android Auto et des antibrouillards. Basée sur une plateforme GA-B raccourcie de la dernière Toyota Yaris, la Toyota Aygo X affiche une bouille sympathique avec des projecteurs en forme de « C », des hanches larges et une carrosserie bicolore (de série avec cette finition) à l’arrière. Dans l’habitacle, l’ergonomie est excellente, les formes du mobilier sont arrondies, la qualité de fabrication est bonne même si les matériaux sont basiques et l’on se sent tout de suite bien au volant.

À contre-courant : les alternatives thermiques à la Dacia Spring restylée

À l’arrière la place est comptée dans la Toyota Aygo X (c’est une mini-citadine de 3,70 m de long), mais c’est surtout l’accessibilité qui pose problème à cause d’une ouverture des portes arrière réduite, autre grief, les vitres entrebaîllantes. Le volume de coffre est limité puisqu’il affiche 231 litres, mais une fois la banquette rabattue fractionnable (50/50) rabattue il passe à 831 litres. Sous le capot de la Toyota Aygo X on retrouve un bloc essence 1.0 VVT-i de 72 ch associé à une boîte cinq vitesses. Une puissance suffisante pour que la Toyota Aygo X se sente à son aise en ville d’autant plus que son diamètre de braquage est réduit (9,4 m) ce qui facilite bien les manœuvres. Sur route et autoroute, le petit moteur peut vous emmener loin même s’il consomme 7 l/100 km sur un parcours mixte (moins de 5 l/100 km en ville), mais il faudra user du levier de vitesses pour se relancer, c’est pourquoi il est conseillé de choisir cette auto avec une transmission CVT (pour 1000 € de plus) qui apportera un plus à l’agrément de conduite. Quant au châssis de la Toyota Aygo X, il offre un bon compromis entre confort et précision de conduite, la prise de roulis est limitée tandis que la direction informative vous facilite le travail.

Bilan

Les premières livraisons de la Dacia Spring restylée débuteront en septembre et nos premiers essais sont programmés pour le mois de juillet, mais d’ores et déjà on peut se faire une idée précise de cette auto. Et l'on peut annoncer que la Dacia Spring qui se trouve dépossédée du bonus écologique de 4000 € et ne propose toujours qu’une autonomie limitée à 225 km, malgré de réels efforts de présentation, va avoir plus de mal à séduire une clientèle qui a besoin d’une auto pour aller au travail tous les jours tout en étant capable d’effectuer plusieurs centaines de kilomètres pour - sans s’arrêter pour ravitailler tous les 160 km - partir en week-end ou en vacances. C’est pour cela qu’avant de signer un bon de commande, il est préférable de regarder ce qui se fait du côté des voitures thermiques puisque l’on a encore la possibilité d’acheter des modèles à moteur à combustion. Et les trois alternatives thermiques que nous vous proposons (Dacia Sandero, Fiat Panda et Toyota Aygo X) seront bien plus polyvalentes que la Dacia Spring et permettront, pour deux d’entre elles, de réaliser d’importantes économies à l’achat.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dacia Spring 65 ch, batterie 26,8 kWh, finition Extreme à 19 900 €.

Les avantages

  • La présentation intérieure
  • L’habitabilité aux places arrière
  • L’insonorisation
  • Le confort

Les inconvénients

  • L'autonomie sur la route
  • Le tarif élevé
  • La monte pneumatique de série

Dacia Sandero 1.0 SCe 65 ch BVM5, finition Extreme à 13 700 € (Malus 2024 : + 125 €).

Les avantages

  • Le tarif attractif
  • Le confort
  • Le comportement routier sécurisant
  • Le grand coffre à bagages
  • La consommation raisonnable

Les inconvénients

  • Le malus
  • Les plastiques durs de la planche de bord
  • Le niveau sonore du moteur lorsque l’on monte dans les tours

Fiat Panda 1.0 Hybrid 70 ch BVM6, finition Cross à 15 600 €.

Les avantages

  • Le look SUV plutôt réussi
  • Le tarif correct
  • La consommation limitée
  • La bonne habitabilité à l’arrière compte tenu du gabarit de l’auto

Les inconvénients

  • La direction floue
  • Le châssis d’un autre âge
  • Le coffre au volume réduit

Toyota Aygo X 1.0 VVT-i 72 ch BVM5, finition design à 19 900 €.

Les avantages

  • Le design plaisant
  • La bonne qualité de présentation
  • La remise de 2000 € proposée à l'achat par le constructeur
  • La dotation en équipement
  • La consommation correcte en ville

Les inconvénients

  • Les vitres entrebaîllantes à l’arrière
  • L’accessibilité aux places arrière
  • Le manque de souffle du moteur

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