La Giulia est censée faire de l’ombre aux BMW Série 3, Audi A4, etc. Et soyons honnêtes, cela se voit au niveau du style, qui est plus international que 100 % latin. Mélange des tendances actuelles, la nouvelle Giulia est réussie, notamment dans sa livrée la plus sportive. Le rendez-vous allemand sera le moment de l'observer dans son plus simple apparat. Nous l’attendons avec impatience. Il en est de même de toutes les informations techniques qui sont encore inconnues à l’heure où nous rédigeons ces lignes. Constat identique pour l’habitacle pour lequel nous possédons une seule image sur laquelle on devine une organisation verticale, agréable à regarder.
Mis à part le fait qu’elle sera animée par des 4 cylindres essence et diesel, c’est l’omerta la plus totale. Exception faite du moteur qui chapeautera la gamme à savoir un inédit 6 cylindres Turbo de 510 ch élaboré en collaboration avec Ferrari et qui disposera de la désactivation des cylindres. La Giulia proposera deux types de transmission : propulsion ou intégrale. Elle recevra de nombreuses aides électroniques dont notamment un contrôle de la répartition du couple (Torque Vectoring), un système de freinage intégral, un dispositif de gestion de la déportance dénommée Active Aero Splitter et même un freinage carbone/céramique sur la version Quadrifoglio Verde.
Début de la commercialisation au printemps 2016.
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