Depuis la révélation en milieu de semaine de l’affaire d’espionnage industriel touchant Renault, tout se précipite. Hier, on a appris que les informations secrètes, concernant très probablement la batterie et le moteur des futurs véhicules électriques Renault, pourraient être destinées à un acteur chinois. Les services secrets français ont d’ailleurs démarré une enquête qui privilégierait également la piste chinoise, selon des informations du Figaro.
Affaire d'espionnage Renault: la piste chinoise privilégiée
Jeudi, Christian Husson, directeur juridique et déontologue de Renault, a assuré dans un communiqué de presse : « Renault entend respecter et préserver l'identité des trois cadres concernés par ces mesures et ceci conformément aux dispositions du Code du Travail. La procédure avance. Sur un plan juridique, nous sommes en train d'étudier toutes les options qui conduiront inévitablement à un dépôt de plainte. Mais à ce stade, Renault ne souhaite pas faire d’avantage de commentaires ».

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