C’est vendredi, mettons de côté encore une fois l’économie, la politique et les procès avec un sujet plus léger, en attendant le week-end prolongé qui s’annonce de plus ensoleillé. Cette semaine, attardons-nous sur le cas de cet agent du FBI qui a eu quelques déboires avec la Ferrari saisie à un dealer alors qu’il emmenait la supercar italienne au dépôt.
Suite à une descente dans le quartier général d’un dealer à Lexington dans Kentucky, les autorités ont saisi son véhicule, une splendide Ferrari F50 rouge au prix estimé à plus de 350 000€, qui laisse penser que sa petite entreprise ne connaissait pas la crise malgré le fait que ce ne soit pas forcément le véhicule le plus discret qui soit pour exercer cette profession.
La procédure veut que le véhicule saisi soit emmené sur un camion-plateau, mais visiblement l’agent du FBI qui devait s’en charger a voulu se faire un petit plaisir en prenant le volant de la F50 pour la ramener au dépôt. Malheureusement, alors qu’il roulait sur Enterprise Drive à 60 km/h, il en a perdu le contrôle, est sorti de la route et a heurté plusieurs arbres. L’agent a été transporté à l’hôpital mais ses jours ne sont pas en danger. Pour la Ferrari à la structure en carbone, c’est un peu plus grave : pare-chocs, bas de caisse, ailes avant et arrière, portière… les frais de réparations devraient être supérieurs à 70 000€.
Comme souvent, deux théories s’affrontent : l’officiel et l’officieuse. L’officiel : la police met en cause les pneus arrière lisses de la voiture, dont l’un aurait explosé. L’officieuse : l’agent du FBI aurait eu le pied droit un peu lourd et les 520ch du V12 4,7l en position centrale arrière auraient fait le reste. A vous de décider quelle histoire vous paraît la plus plausible.
Source : Wrecked Exotics
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