Nous n’avons pas manqué de suivre la généalogie de cette nouvelle Leon. Nous avons ensuite relayé les premières photos et informations officielles relatives à la Leon qui sera la star du stand du constructeur ibérique, lequel appartient au groupe Volkswagen, au Mondial de Paris 2012.
On le sait, Seat éprouve depuis plusieurs années de grandes difficultés à exister au sein du groupe Seat dans lequel il doit trouver sa place quelque part entre Volkswagen, Skoda et Audi. Pas facile, dans de telles conditions, de trouver marché à sa taille. Si Volkswagen laisse une dernière chance à Seat de se relever, notamment en se développant en Chine et en Asie, que faut-il en attendre ? Du bon.
La nouvelle Leon inspire manifestement la confiance ; nous avons d’ailleurs hâte de la découvrir. On pourrait même parier que son succès pourrait à son tour faire de l’ombre à d’autres productions équivalentes du groupe. D’autant que le groupe (ce n’est sans doute pas pour rien que le groupe allemand lorgne avec insistance mais sans aucun succès que d’estime sur l’italien Alfa Romeo dont Fiat… ne séparera jamais à moins de se retrouver acculé…) a besoin de véhicules au tempérament et aux lignes plus latins. La production et les propositions du groupe Volkswagen sont en effet à ce jour bien trop « nordiques ».
La péninsule ibérique tient sans doute avec le futur succès possible de Seat enfin au but : occuper une place dont elle a été à répétition privée dans le concert des nations automobiles. Heureusement, tout le monde n’a pas oublié Hispano voire Pegasus. Et surtout pas les Espagnols eux-mêmes ! Viva España, viva Seat !
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