Il est bien 22 heures, c’est tout à fait Minuit chicanes.
Débutons avec Lamborghini qui présente à Genève une véritable horreur à un tarif « de malade » et dont le rapport prix-performances est des plus déplorables. N’empêche sans doute y aura-t-il tout de même suffisamment de clients (…) pour penser que posséder une telle voiture vaut bien 3,5 millions d’euros. Il est vrai que Lamborghini doit rentabiliser ses nouvelles installations qui lui permettent de produire des voitures à l’unité ou en très petite série puisque, manifestement, telle semble être l’une des places dorénavant dévolues à Lamborghini qui est encombré de très gênants voisins de groupe (Audi, Porsche, etc.) dans la galaxie Volkswagen. N’empêche, il serait temps de faire quelque chose car même une Vector américaine avait plus de classe que cette Veneno.

Poursuivons avec Ferrari qui présente LaFerrari. Au moins ici, l’auto est-elle sublime, incroyablement sublime et sculpturale même. Ferrari maîtrise indéniablement son art. Sauf que… le nom de cette nouvelle hypercar est d’une pauvreté affligeante sinon désespérante. N’y a-t-il personne chez Ferrari pour inventer des noms ou bien les clients de la marque sont-ils devenus à tel point incultes qu’il faut répéter le nom de la marque dans le nom de leur véhicule ?
Quelque chose urge, n’est-ce pas ?
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