Car pour le prix à la pompe, il y a toujours un perdant : l'automobiliste. Pour l'instant, le vent lui est favorable au moment de faire le plein. Mais ça ne va pas durer, ceux qui encaissent vont réagir. Lorsque ça augmente, on nous dit que c'est à cause des tensions géopolitiques. Et en ce moment, l'ambiance n'est pas au beau fixe sur la planète. Pour autant, le prix du baril est passé de 91 à 84 dollars. Pourquoi ? Parce que c'est la crise mon bon Monsieur si bien que la demande est discrète tandis que l'exploitation du gaz de schiste produit son effet. Last but not least, même la Chine a ralenti son allure de développement.
Bref, un mal pour un bien. Mais les pays producteurs de pétrole vont s'adapter, en réduisant le débit des robinets distillant l'or noir. D'ailleurs, une réunion de l'Opep est prévue le 27 novembre à Vienne. Pour Noël, il ne faudra pas attendre de leur part un cadeau.
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