Yamaha MT-09 : une nouvelle fois remisée par les forces de l'ordre
Les gendarmes boudent une nouvelle fois la MT09 Tracer. 100 Yamaha sur les 450 en service serait incriminées.

D'après nos confrères du Figaro la grosse Yamaha est une nouvelle fois pointée du doigt par les forces de l'ordre. Le 18 juin dernier une note interne en provenance de la sécurité publique et de la sécurité routière de la gendarme nationale indiquait la suspension de l'utilisation de la Yamaha tant concernant les formations motorisées de la police que des escadrons départementaux.
Si seulement quelques départements sont pointés du doigt (Corse, la zone de défense Sud, Essonne, Seine-et-Marne, Marne, Haute-Marne ainsi que le Centre national de formation à la sécurité routière de Fontainebleau (Seine-et-Marne) soit environ 100 motos sur les 450 en service) la moto ne fait pas l'unanimité. Un motard de la police nationale en poste dans l'Essonne : "Dès qu'on atteint les 200 km/h, ces motos guidonnent et c'est embêtant car ce sont des vitesses auxquelles nous allons régulièrement, lors d'interceptions de voitures puissantes ». Un gendarme francilien : « Il y a eu tellement de soucis depuis son lancement que certains collègues n'ont plus envie de monter sur les MT09. On trouve souvent une solution de rechange, mais ce n'est pas tenable comme situation ».
« Certaines fourches ont pu être montées par Yamaha avec un outil non adapté (clé à choc). En conséquence, la fourche de suspension peut être fragilisée » indiquerait une note interne…
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération