
Voilà un peu plus de six ans maintenant que l'évaluation de l'activité des forces de l'ordre se base sur les chiffres. L'obligation de résultats liée à chaque intervention induit une pression qui se répand comme une trainée de poudre sur l'ensemble de la hiérarchie, du Ministère jusqu'aux brigades, en prenant de l'ampleur au passage de chaque échelon.