L'Américain Motoczysz adore les challenges. Dans un pays où le marché en pince surtout pour le Superbike et les Cruisers, il a décidé de prendre le seul l'aspiration de Kenny Roberts. Sauf qu'il ne possède aucune aura susceptible de le lancer un tant soit peu dans le milieu.
Ce n'est pas souvent que l'on a l'occasion de parler de pilote de Formule 1 par ici, mais il faut bien reconnaître que Kimi Raïkkonen s'est donné les moyens pour nous faire l'honneur de sa présence en ces lieux.
On les croyait bien sous tous rapports, parfaitement coaché, au régime sec, à la vie d'ascète. Voilà qu'un mythe s'effondre ! Le quatuor hilare levant la choppe bien pleine lézarde sérieusement la légende d'un univers tendu vers la perfection d'un corps ajusté au moindre gramme près et astreint à un régime de vie monacal.
L'engin nous vient des Highlands écossais, réputés pour nous offrir de grandes étendues escarpées et verdoyantes, balayées par des vents frais et des averses roboratives pour qui s'adonnerait plus à la lente procession qu'à la randonnée dynamique.
On a beau dire, aux antipodes, ils ne sont pas manchots. Voilà un défilé qui a fait couler beaucoup d'encre, mais aussi de salive, au propre comme au figuré. Une procession organisée par un entrepreneur du nom de Steve Crow et qui a décidé, pour se faire mousser, de faire défiler dans l'artère principale de la bonne ville d'Auckland pas moins de vingt cinq stars du porno à cheval sur.
S'il y a un genre que la mécanique de Bologne n'a que très rarement exploré, c'est bien celui du custom. Certes, il va bientôt se mettre à l'Hypermotard, mais le twin italien a toujours évolué loin des châssis que l'on adule, a contrario, et jusqu'à y exceller, du côté de Milwaukee.
Voilà un produit qui pourrait bien faire office de trône au plus mordu des motards. Un véritable fauteuil de salon, tout a fait dans un style vintage que beaucoup de nostalgiques de l'équipée sauvage et autres feues productions anglaises risquent d'adopter.
Harley Davidson n'est décidément pas une marque comme les autres. En plus de sa revendication communautaire entre tous ses adeptes, elle ne renie en rien ses origines américaines, bien au contraire. On l'affiche et de la manière la plus solennelle qui soit.
Si vous pensez que votre V-Twin est un peu poussif et qu'il n'est finalement pas très impressionnant à l'œil et que, par ailleurs, vous êtes un inconditionnel des « Têtes Brûlées » , un vrai Papy Boyington dans l'âme, rassurez vous, vous n'êtes pas seul sur cette immense planète.
On se souvient tous de Paulo les gaz du Joe bar team qui présente sa maison à sa copine où tout est décoré à base de pièces de moto : table basse posée sur un moteur, apéro livré dans de faux bidons d'huile et chambre aux couleurs de l'hôpital. C'est dans le tome 6 page 11 pour les incultes.
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