
C'est une nouvelle preuve d'une motophobie ambiante dans les hautes sphères de l'Etat qui ne lasse pas d'inquiéter. Après le déni de justice de Goult, voici le harcélement de Carpiagne, avec toujours le même acteur majeur, un Préfet.
C'est une nouvelle preuve d'une motophobie ambiante dans les hautes sphères de l'Etat qui ne lasse pas d'inquiéter. Après le déni de justice de Goult, voici le harcélement de Carpiagne, avec toujours le même acteur majeur, un Préfet.
C'est en ce moment même que le projet de loi LOPPSI (d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure) est mis en examen l'Assemblée nationale. En juillet dernier, la FFMC et les motards avaient manifesté pour montrer leur désaccord envers ce projet qui pour eux est une privation de liberté et uniquement dans le but de satisfaire les associations de victimes.
30 ans… Ca commence à remonter loin pour une association. Et pourtant les racines de la FFMC viennent des années soixante-dix. A cette époque, les motards étaient encore plus mal vus qu'aujourd'hui. Considérés comme des « rebelles », ils étaient rejetés par les bien-pensants de l'époque et censurés de toutes parts.
Depuis le 5 juin 2009, La FFMC et la DSCR (Sécurité et de la Circulation Routière) se concertent et réfléchissent sur la base des 74 propositions du Rapport Guyot censé apporter des solutions pour infléchir la sinistralité routière des deux-roues motorisés et les propositions revendiquées pas l'asso' depuis plus ou moins longtemps.
C'est ce week-end que des centaines de motards vont prendre les routes malgré le froid pour se rendre sur un des évènements de ce début d'année, l'Enduropale du Touquet millésime 2010. Il se tiendra les 6 et 7 février sur les plages du Pas-de-Calais.
Suite à la conférence de presse du 14 janvier dernier qui réunissait pour la première fois les trois principales instances françaises de la moto et des loisirs motorisés, la FFM, le CODEVER et la FFMC dans le but de sonner la révolte contre la « motophobie » ambiante qui s'installe, l'action politique se poursuit.
Véritable lieu de rendez-vous pour les motards Franciliens mais aussi ceux de la (très) grande couronne, le circuit Carole (93) fait parti de ces circuits qui ont été construit pour canaliser les jeunes «blousons noirs» que nous sommes (c'est ironique. . . ).
Quand on se retrouve sous la bannière de la sécurité routière, on se sent forcément investi d'une mission, celle de protéger à tout prix la veuve et l'orphelin de la monstruosité qu'est la bête de la route… Et parfois à n'importe quel prix.
Hier, se tenait au siège de la Fédération Française de Motocyclisme, un moment historique pour la grande famille des deux roues. En effet, pour la toute première fois de son histoire, les trois grandes instances du motocyclisme en France (FFM, FFMC et Codever) ont uni leurs forces en conviant la presse spécialisée à une conférence de presse dont le sujet principal était la défense des motards et des activités qui y sont liées.
FFMC, FIM, FEMA etc. Autant de termes abrégés qu'il n'est pas facile de connaître quand on n'est pas vraiment du milieu et encore moins de savoir ce que ces organismes font pour nous autres motards. En France, la plus connue reste la Fédération des motards en colère (FFMC) qui défend nos libertés depuis près de 20 ans.
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