Vous ne pouvez vous passer de votre auto, mais les dépenses qu'elle génère pèsent sur vos finances. Covoiturage, location ou encore publicité : il existe de nombreux moyens pour amortir les frais sans bouleverser ses habitudes.
Louer plutôt qu’acheter, c’est un usage de consommation qui, depuis un an et la mise en place des forfaits de mobilité durable, se répand chez les salariés enfourchant leur vélo pour se rendre au travail. Les experts de la location et de la petite reine imaginent des formules dédiées tout inclus, parfois même des offres multimodales combinées avec la voiture.
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L'examen du projet de loi climat va commencer à l'Assemblée Nationale. Parmi les propositions déjà annoncées, voici celles qu'il faut retenir pour l'automobile.
Quel est le risque de transmission du Covid-19 à l'intérieur d'une voiture ? Une étude des flux d'air donne quelques indications qui intéresseront les conducteurs comme les passagers.
Véhicules de fonction, covoiturage, bornes, plans de mobilité. La question du verdissement des parcs automobiles et les démarches de transport alternatif devraient connaître un sérieux coup d’accélérateur dès cette année au sein des flottes publiques de l’État. C’est du moins la volonté du Premier ministre.
Inauguré à la mi-décembre ce site permet de garer sa voiture afin de poursuivre son trajet en transports en commun.
Le covoiturage résiste plutôt bien à la crise, ainsi qu’en attestent les prévisions de trafic de BlaBlaCar, leader mondial du secteur. Dès les premières annonces de déconfinement, les réservations de trajets bondissaient de 75%.
Dès ce 21 décembre, la voie de gauche sur les M6 et M7 (ex-A6 et ex-A7) est réservée aux véhicules transportant au moins deux personnes et aux véhicules Crit'Air 0.
Après le coup d’arrêt du printemps, la pratique du covoiturage a rapidement repris des couleurs, au point que le nombre de demandes se montre nettement supérieur à celui des places proposées. Caradisiac fait le point avec Nicolas Brusson, co-fondateur de BlaBlaCar, leader mondial du secteur.
On aurait pu croire, au vu des contraintes sanitaires liées à la distanciation sociale, à une désaffection profonde du covoiturage et de l’autopartage d’entreprise suite à la première vague de Covid-19. Or, la reprise aurait montré au contraire un engouement réitéré voire plus fort pour ces solutions de mobilité alternatives.
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