Alors qu’on attendait Ferrari et Toyota, le constructeur japonais s’est retrouvé en difficulté aux qualifications et l’écurie italienne a été battue par Porsche, BMW et surtout Cadillac qui signe sa première pole position aux 24 Heures du Mans. Peugeot n’a même pas pu participer à l’Hyperpole et certains pensent que Ferrari (et d’autres) cachent leur jeu.
L’INFO DU JOUR – Après deux années de domination de Ferrari, les 24 Heures du Mans 2025 vont-elles livrer un résultat surprenant dimanche prochain ? Alpine, Toyota et Porsche en rêvent alors que d’autres marques espèrent juste y faire bonne figure. Les Peugeot 9X8, hélas, paraissent toujours loin du compte pour l’instant. Mais au Mans, on ne sait jamais…
Une semaine avant de se lancer sur la piste des 24 H, une vingtaine de voitures, dont 8 Hypercars, vont effectuer un roulage dans les rues du centre-ville du Mans. L’occasion d’être au plus près des bolides.
Caradisiac a testé La Piste bleue Alpine sur le circuit Bugatti au Mans, une journée de plaisir intense que ne gâchera en rien le rappel de la triste réalité de vos propres performances.
A partir du 21 mars, le Musée de L’Aventure Peugeot retrace 130 d’engagement de la marque en sport automobile.
Ford annonce son grand retour dans la catégorie reine de l’endurance (et des 24 Heures du Mans). Le constructeur américain s’attaquera à Ferrari, Toyota, Peugeot, Alpine, Aston Martin, Cadillac et Porsche dès la saison 2027 avec l’espoir de réussir le même tour de force qu’à la fin des années 60.
Alors que Genesis doit rejoindre Ferrari, Toyota, Porsche, Peugeot, BMW, Cadillac et Aston Martin dans la catégorie Hypercar en endurance et tenter elle aussi de gagner les 24 heures du Mans, la marque « premium » du groupe Hyundai va devoir ruser pour se fabriquer un moteur à temps.
Essayer les Alpine A110 et A290 sur circuit, c’est désormais possible avec le nouveau centre d’expérience qui donne accès au circuit Bugatti du Mans. La marque propose également des baptêmes en prototype d’endurance.
LES VOITURES EN MUSIQUE – Sur le papier, le jeu vidéo « Le Mans 24 Heures » proposait enfin de quoi assouvir la passion des fans de la grande course d’endurance et de ses si belles autos. Mais on se souvient surtout de son générique d’ouverture et de sa musique, hélas.
Il y a près de 70 ans se déroulait la plus grande tragédie du sport auto. Elle fait aujourd'hui l'objet d'un troublant documentaire mèlant un tabou familial au déroulé du sinistre évènement. Son réalisateur, qui a perdu deux de ses oncles dans l'accident, parvient, de brillante manière, à faire parler son entourage qui ne s'était jamais exprimé, et des archives qui ont de nombreuses choses à révéler.
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