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Tout le monde s'accorde à louer la beauté du style de la Ferrari 456. Tout le monde, oui, mais pas Serge Bellu qui qualifie ses proportions de bancales et la trouve "bourée de fautes". En face, Stéphane Schlesinger doit déployer tous ses talents d'avocat pour défendre une voiture qu'il qualifie de "splendeur".