Harley-Davidson, c'est du pain béni pour distiller la bonne parole. Certains considéreraient que prendre la route avec ces motos relèveraient du chemin de croix alors que d'autres les ont adoptées en s'armant d'un esprit de clocher. En résumé, la dame de Milwaukee ne laisse jamais indifférent, même à 110 ans bien sonnés.
Mesdames, si vous avez le bourdon, rien ne vaut un bon guidon. Quant à celles qui se croient déjà comblées malgré un régime sans selle, elles n'ont cas enserrer un réservoir pour y croire : une femme qui conduit une moto est bien plus épanouie que celle qui en est privée.
Pour changer le look de vos roues Roland Sands Design sort une nouvelle famille d'accessoires répondant au nom de code de Del Mare, dont ces jantes font partie. Capables de venir en lieu et place des jantes proposées d'origine, les Del Mar pourront les remplacer sur la quasi-totalité des modèles de Harley Davidson.
Récemment, Cuba a fait sa révolution en adoucissant les règles que le pays avait établi à la fin des années cinquante lorsque Fidel Castro et ses amis se sont emparés du pays.
Ce dernier opus de l'enseigne Icon est comme le cochon : dedans tout y est bon ! Sur une base de 883 Sportster de 1991, les préparateurs ont travaillé la mécanique pour la porter à 1 200cc qui respirent avec des échappements Supertrapp rappelant clairement les canons d'un double coup.
Suite à notre article présentant les deux dernières bandes dessinées de Frank Margerin, en collaboration avec Marc Cuadrado ("Je veux une Harley Tome 1 Lavie est trop courte" et "Je veux une Harley Tome 2 Bienvenue au club"), peut-être avez-vous l'intention d'offrir un exemplaire (ou les deux) à quelqu'un de votre entourage?
Alors qu'il vient de passer le cap de la cinquantaine, Marc Carré est "invité" à faire une coloscopie. . . Une fois passé l'angoisse des résultats, notre homme prend conscience que la vie est courte, et qu'il ne faut pas passer à coté des choses sérieuses; c'est décidé, il va s'acheter une Harley.
« A chacun sa religion ». Voilà le slogan qu'a choisi l'importateur canadien du constructeur Harley-Davidson. Un concept qui colle bien, a priori, à la philosophie d'une marque qui joue sur ses valeurs et ses traditions pour proposer des machines à la polyvalence moins affirmée que la concurrence, au caractère rugueux, au freinage long comme un jour sans pain, mais au son à nul autre pareil et aux vibrations assumées.
Pour la première fois depuis déjà quatorze ans, Harley-Davidson a intégré dans sa gamme une nouvelle famille. Un moment historique célébré au dernier Salon de Milan, avec la présentation des motos baptisées Street et équipées des nouveaux moteurs 750 et 500.
Mine de rien c'est un petit événement du côté de Milwaukee. Cela faisait treize ans, pas moins, que l'on n'avait pas vu une nouvelle moto dans la gamme Harley-Davison. Il aura fallu que les pays émergents révèlent leur potentiel commercial pour faire émerger ces petites Street, au regard de ses sœurs aînées, dotées d'un twin 500 et d'un autre de 750 à refroidissement liquide.
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