Si Andrea Dovizioso a signé pour rejoindre les hommes de Tech3 en 2012, c'est clairement pour espérer récupérer un guidon officiel Yamaha en 2013 au détriment de Jorge Lorenzo ou de Ben Spies. Un plan qui est logique, sauf que l'Italien semble oublier que le contexte du Moto GP est en plein bouleversement.
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La Desmosedici de Grand Prix a actuellement du mal à faire mordre la poussière à ses concurrentes. Alors, chez l'emblème Roland Sands Design, on a décidé d'inverser la tendance et d'amener le missile Ducati dans l'arène du tout terrain pour mieux la faire redescendre sur terre.
C'est un hiver studieux que se réserve apparemment un Carmelo Ezpeleta cette fois bel et bien déterminé à faire plier les constructeurs dans son Moto GP. Il faut dire qu'il n'en reste plus que trois, dans un contexte économique qui est encore loin d'être sorti de la dépression.
Cela faisait un petit moment qu'Andrea Dovizioso décochait quelques piques à l'encontre de son compatriote Valentino Rossi. L'ambassadeur du Grand Prix d'Argentine programmé pour 2013 avait d'abord exprimé ses doutes sur le possible retour en haut de l'affiche d'un « Doctor » qu'il ne voit toujours pas en mesure de jouer les terreurs l'année prochaine avec la Ducati.
On l'a peut être oublié, mais le sémillant Carlo Pernat, avant de s'occuper de pilotes, était en charge des affaires sportives des constructeurs qui l'employaient. Cagiva, Gilera mais aussi et surtout Aprilia ont été de ceux-là, avant que San Carlo ne se préoccupe plus particulièrement de Loris Capirossi, Marco Simoncelli et Alex De Angelis.
Le MotoGP fait sa révolution en s'émancipant pour de bon des constructeurs. Par ailleurs, il va élargir son horizon, ce qui qui signifiera une présence à moyen terme moins marquée en Europe. Voilà comment on pourrait résumer la sortie de Carmelo Ezpeleta sur le site Marca.
Le Moto GP a quelque peu toiletté son calendrier 2012 en n'apportant néanmoins que des réponses partielles à certaines de ses zones d'ombre. Ainsi, on commencera finalement les hostilités une semaine plus tôt qu'initialement prévue, le 8 avril dans la nuit qatarie.
Après avoir lancé le tome 1 de l'histoire de Ducati lors du Salon Moto Rétro de Weize en Belgique, l'auteur, Marc Poels, a profité d'un autre évènement majeur de la moto ancienne, le salon Moto Légende, pour présenter le deuxième volet de cette saga.
Bonjour Marc ; qui es-tu et comment es-tu venu à la moto ? Bonjour. Donc, je m'appelle Marc Poels, je suis belge et je travaille pour la revue « Desmo » depuis maintenant 7-8 ans. Je m'occupe principalement de la partie historique, mais pas seulement.
Certes, on pourra toujours se gausser du malheur d'un motard fortuné qui était tout heureux d'avoir mis pas moins de 140. 000 dollars de budget dans sa Ducati 1098RS, afin qu'elle se rapproche au mieux d'une version Superbike prête à arpenter la route.
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