Les italiennes, ça pompe et ça nous lâche
Je ne sais si cela provient de mes origines mais quoi de plus beau que les Italiennes : Elles sont un mélange de sensualité, de beauté et de charme.
Quand leur moulin se met en route, là, cela devient l'extase. Quelle mélodie, quelle envoûtement, quelle air chantant qui résonnent dans nos oreilles.
Lorsque l'on croise leur chemin, notre cœur s'emballe, nos mains deviennent moites et notre regard hypnotisé. L'amour ne peut que nous assaillir.
Vous l'avez bien compris, je ne peux parler de motos lorsque je dis tout cela.
Il y a une vieille légende urbaine qui dit que les motos italiennes consomment beaucoup d'huile et ne sont pas fiables.
Rien de tel qu'une semaine avec 20 japonaises et 4 italiennes (malheureusement, là, je parle bien de moto) et 3000 km au compteur pour se faire une idée précise.
Autant vous le dire tout de suite, les 20 japonaises n'ont eu aucun problème.
Sur les 4 italiennes, une Benelli, deux Ducati et une Aprilia.
Bilan de cette semaine, en moyenne, un litre d'huile par moto italienne. Je ne vous fais pas un dessin sur la quantité d'huile consommée par les motos japonaises.
Une pédale de frein tordue (mais ça c'est à cause du pilote ou peut-être de la passagère) pour une des Ducati.
Et enfin un petit problème de connectique pour la Benelli.
Au final, rien de très important.
Pour essayer de conclure, sur ce sujet, nous pouvons dire que comme d'habitude, les japonaises ont été irréprochables.
Les Italiennes, elles, nous ont démontré que le temps où il fallait être mécanicien pour les acheter est révolu. Bien sur, il faut être prêt à un peu plus d'entretien que la moyenne mais les amoureux de bicylindres ne devraient plus hésiter.
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération