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Fiche technique Maserati Quattroporte 6 VI (2) V6 350 GT

Caractéristiques détaillées 
1,48 m1,94 m
5,26 m
  •  5 places
  •  530 l / NC

  •  4 portes
  •  Automatique à 8 rapports
  •  Essence

Généralités

 
Finition GT
Date de commercialisation 01/05/2021
Date de fin de commercialisation 17/03/2022
Durée de la garantie 36 mois ou 10 000 km
Intervalles de révision en km NC
Intervalles de révision maxi NC

Dimensions

 

Caractéristiques moteur

 

Performances / Consommation

 

Châssis et trains roulants

 
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Avis Maserati Quattroporte 6

Quattroporte 6 VI 3.8 V8 530 SPORT GTS AUTOMATIQUE (2014)

Par Benoit A. le 22/07/2019

Sortant d'un cabriolet de prestige et sportif pour lequel nous n'étions plus faits, nous voulions beaucoup d'espace à l'intérieur et du volume dans le coffre ; et je tiens à rouler dans l'exception, pas dans ce qui est seulement beau ou de qualité : la Maserati Quattroporte VI 3.8 GTS est plus qu'à la hauteur de la tâche. Le look est splendide, ni lourd ni banal ; le cuir est beau et l'aménagement discret : vous êtes au volant d'un vaisseau amiral dénué de tout clinquant, vous n'êtes pas dans la "grosse" voiture de Monsieur Tout-le-monde. Pressez le bouton et le bruit vous enchante. La motorisation ? V8 Ferrari biturbo 2 roues motrices, j'ai tout dit : en automatique simple, les coups de "kickdown" sont sublimes, utilisez les palettes (sur la colonne, pas ces machins qui tournent avec le volant) pour le frein moteur ou un virage et vous êtes comme sur des rails ; passez en mode "manuel" et mettez en "sport", vous aurez tout ça au décuple. Consommation : plus de 15 L/100 en ville et sur route, moins de 8 L/100 sur autoroute en utilisant le régulateur et en respectant les limitations ; à 130 km/h le compte-tours reste sous les 2000 t/mn, le véhicule a une grande autonomie et la fatigue n'existe pas. L'entretien est simple, pour une auto de ce niveau bien sûr : huile 5W40, pas de carter sec, vilebrequin "cross-plane", etc. La motricité et l'agilité sont très bonnes par rapport au poids et aux dimensions du véhicule ; et la BVA évite de dévorer l'embrayage comme sur une séquentielle. Le style, les sensations, cette Maserati me semble être la quintessence actuelle de l'idée qu'avait eue Jean-Clément Daninos avec la FACEL-VEGA Excellence : non pas une énième grande berline puissante et luxueuse à côté des Daimler, Bentley, etc ; mais une version allongée de voitures rapides sportives et raffinées. Meilleure et moins coûteuse que ses concurrentes.