Fiat Tipo break : petite déménageuse - Vidéo en direct du salon de Genève 2016
Olivier Pagès , mis à jour
Pas de doute, la star chez Fiat, c’est la Tipo. On en a eu à toutes les sauces ou presque : berline 4 portes, 5 portes et voici maintenant le break
Il y avait foule sur le stand Fiat lors de ce salon de Genève. Il faut dire que le constructeur italien avait fait le plein de nouveautés avec 6 modèles. Cela faisait longtemps. Comme la Tipo est un véhicule à destination de la famille, il est tout à fait logique qu’elle soit déclinée en break.
Avec une longueur de 4, 57 m soit 20 cm de plus que la berline 5 portes et une hauteur à 1,52 m (+ 3 cm), le break offre logiquement des lignes plus rectilignes mais aussi plus pratiques. L’habitabilité arrière devrait être encore meilleure. Pas forcément au niveau de l’espace aux jambes mais plutôt de la garde au toit.
Le volume de chargement passe à 550 litres. C’est bien pour la catégorie sans toutefois être exceptionnel puisque des Peugeot 308 SW ou Honda Civic Tourer font mieux. Le coffre semble toutefois pratique avec un seuil de chargement bas, une ouverture large et Fiat annonce différentes astuces en termes de modularité et d’aménagement. Ainsi, la banquette arrière est rabattable et fractionnable selon le schémé 60/40 et peut être repliée grâce à un dispostif dénommé "flip-and-fold" permettant d'obtenir une surface de chargement plane de 1,80 m de longueur. Statu-quo au niveau de la présentation qui reste similaire aux berlines. Similitude aussi au niveau des moteurs : essence 95 ch et diesel 95 et 120 ch.
Les prix ne sont pas encore connus mais pour rappel ceux de la berline 4 portes débutent à 12 490 €. La commercialisation de break interviendra à la rentrée.
L’instant Caradisiac : un peu de place, please
Quand on aime comme moi la marque italienne, on ne peut que se réjouir de voir autant de nouveautés et par conséquent de journalistes sur le stand de Fiat. Seul problème, quand vous réunissez les 3 carrosseries de Tipo sur un espace réduit et bien cela créé des bouchons. Et qui dit embouteillages dit difficulté pour travailler. Dommage.
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