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Commentaires - Harcèlement moral chez Renault : l'inspection du travail prévoit des sanctions

Patrick Garcia

Harcèlement moral chez Renault : l'inspection du travail prévoit des sanctions

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Par Anonyme

En voilà une nouvelle !! Espérons que çà ne va pas trop mettre la pression sur le DRH...... Juste retour des choses pour une pyramide hiérarchique qui n'a pas su gérer la surcharge d'activité lié au contrat 2009.... Le toujours plus qui amène les cadres et les techniciens à ne plus vivrent que pour leur entreprise au mépris des conséquences personnelles est enfin sanctionner (il est vrai qu'un salarié se dématérialise dès qu'il quitte son site pour se rematérialiser à son retour sans aucune vie sociale entre les deux)..... J'espère que çà va aller loin pour l'exemple et apprendre aux managers à gérer le temps de leurs équipes dans le respect de la personne humaine ....

Par Anonyme

C'est assez étrange de la part de l'Inspection du Travail de réclamer le contrôle des temps pour les cadres, qui en sont exemptés ! D'autant plus que les accès périmétriques et internes du site sont fortement équipés en lecteurs de badges, à usage filtrants.  De plus, il est parfaitement loisible à l'Inspection de demander les datas recueillies, certes pour raisons de sûreté, dans de tels cas. Certains voisins du site  ont déjà "bénéficié" de ce type d'investigations, avec l'accord des partenaires sociaux. Un jolie cas de mésentente ou un bras de fer en perspective ? :voyons:

Par Anonyme

A quand le retour OBLIGATOIRE des badges sur le lieux de travail, afin de mesurer le temps REELLEMENT effectué et pouvoir appliquer enfin la législation ! Travailler plus pour gagner plus ?Pourquoi pas, très bien, je suis pour !.... Mais encore faut il être en mesure de pouvoir compter et se faire payer le nb d'heures travaillées ! Et dans certains secteurs ou entreprises (ou services suivant le bon vouloir du chef), c'est rare !!!!    Contrairement à "la légende" en théorie (cad en droit) les cadres ont bien un temps de travail LIMITE ! Et ont également le droit, en théorie, à être payées pour leurs heures supplémentaires !!! Mais si elles ne sont pas comptées ils ne peuvent les réclamer ... Ce n'est pas eux ("par peur du flicage") ni les syndicats qui font barrage aux badges (comptabilisant le temps), mais plutôt les Directions, qui craignent trop de devoir payer ces heures au détriment de leurs bénéfices et actionnaires... surtout lorsque, apparemment comme dans le cas présent, la société encourage les dépassements d'horaires systématiques et importants (surtout chez leurs cadres) - et ce sans comptabiliser ni reconnaitre ni payer ces heures bien sûr ! C'est d'autant plus facile si certains des dits cadres croient eux-mêmes "ne pas avoir d'horaires" (entendez être disponibles et corvéables à merci), et regarderaient de travers ceux ayant un regard plus rationnel et qui oseraient contester...   Travailler 12 à 15h par jour, si cela relève du choix personnel et libre de personnes passionnées par leur travail au point de faire cela par plaisir sur leur temps personnel sans être payées, et/ou par des personnes financièrement impliquées (c'est leur boite et elles espèrent se rémunérer autrement - sur les bénéfices ou l'accroissement de la valeur de la société), voire celles bénéficiant d'un statut un peu particulier et particulièrement doré (cadres dirigeants grassement payés, très considérés etc), why not. Mais cela devient problématique si cela est imposé unilatéralement et à tous, en toute illégalité (sans rémunération des heures supplémentaires ni négociation individuelle ou collective de contrepartie), devenant "une norme sociale" (certains diront "la culture d'entreprise") non écrite ni officiellement reconnue nulle part bien sûr (puisque c'est illégal!)...    Il y a alors des victimes, qui subissent puisque la seule autre alternative serait de démissionner : mais sans garantie alors de trouver ailleurs... ni chômage dans l'intervalle... sans compter qu'il faudra justifier cette décision vis a vis de ses anciens collègues (donc dénoncer une situation que les autres ont choisi de supporter, cad se désolidariser et se marginaliser, c'est difficile), et surtout auprès du prochain employeur (ça peut être délicat)... Bref la "solution" semble douloureuse est il n'est pas dit que ça ne soit pas pire que le "mal"... Mais se plaindre ou s'opposer ne sert à rien : le chef a toujours raison. Les syndicats sont impuissants, l'inspection du travail inexistante et débordée (et les cadres, considérés comme des privilégiés qui n'ont besoin de personne, ne sont pas a priori sa préoccupation première) ;t e la justice ne reconnait que les cas les plus extrêmes (vu que le harcèlement moral est très difficile à prouver... Alors on accepte, on essaie d'entrer dans le moule, on subit... et on finit par péter un plomb !!!!   Pour conclure, j'espère que le cas Renault sera sévèrement sanctionné afin que les Directions des entreprises qui abusent ne puissent plus fermer les yeux sur certaines pratiques esclavagistes d'un autre âge et, au delà des discours et mesures d'affichage, agissent vraiment pour lutter contre les charges de travail et dépassements  d'horaires excessifs dans certains de leurs services ou établissements... au moins par peur du gendarme....

 

Par Anonyme

Bien dit mais j'ai pas pu lire jusqu'au bout.

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