
En huit ans, Volvo est passé d'acteur de seconde zone du premium à menace numéro un pour les constructeurs allemands, que ce soit en Europe, aux Etats-Unis ou en Chine. La faute à des modèles au dessin totalement revu qui ont fait la croissance de la marque suédoise ces dernières années. A Monaco, Volvo nous rappelle qu'il n'est plus là pour faire de la figuration.