Le rachat d’Opel par PSA a peut-être ouvert la voie à d’autres fusions ou absorptions dans le monde de l’automobile. Parce que certains constructeurs sont plus fragiles que d’autres. Parce qu’après deux années de bons bénéfices, certains disposent du cash suffisant pour en racheter d’autres. Et parce que l’avenir et les nouvelles mobilités plaident pour une concentration des marques.
Apparemment, il n’y a pas de fatalité. Ce n’est pas parce que l’on est un constructeur de voitures dont la gamme est composée d’une motorisation diesel que l’on est forcément en infraction avec les normes antipollution. C’est du moins ce qui ressort des conclusions d’une Répression des fraudes française qui devient le cauchemar des marques automobiles. Sauf pour Opel. À qui rien n’est à reprocher.
On dirait que ça s'accélère du côté des voitures électriques, après une certaine stagnation ces dernières années, il semblerait que de nombreux constructeurs commencent à s'y intéresser et on vous propose un tour des automobiles branchées les plus remarquables de ce Salon de Genève 2017.
Gros bouleversements à venir pour Opel : après le rachat par PSA, voici les premières conséquences (rapides). La future Corsa, l'une des meilleures ventes de la marque, sera reportée à 2020 au minimum, pour passer sur la plateforme développée par PSA. Une bonne nouvelle pour la citadine au blitz ?
Comme pour la précédente génération, l'Insignia bénéficie d'une déclinaison break, toujours baptisée Sports Tourer. Un beau bébé de 4,99 m de long, qui estompe un des défauts de la berline, un coffre un peu petit.
Vous l'avez déjà découvert en détail sur Caradisiac, lors d'une présentation statique où nous nous étions bien sûr rendus. Et où nous avons appris qu'il serait finalement présent à Genève. Petite piqure de rappel concernant ce nouveau concurrent des Renault Captur et Peugeot 2008.
Le marché de la berline n'est pas mort sous les coups de butoir des SUV. Il survit encore et Opel n'entend pas l'abandonner. Ainsi, le constructeur allemand renouvelle sa berline Insignia. En lui accolant le titre de "Grand Sport", il affirme sa vocation dynamique.
La vente d’Opel à PSA est le dernier épisode en date des aventures de General Motors en Europe. Une histoire qui, depuis presque trente ans, se solde systématiquement par des déconvenues. Des alliances, des rachats et des incursions qui, de Fiat à Saab en passant par Chevrolet, se sont toujours soldés par des échecs. Saga d’un manque de bol.
Ce matin, au siège de Peugeot–Citroën, Mary Barra et Carlos Tavarès ont officialisé leur relation. Le président de PSA rachète Opel et Vauxhall, propriété de General Motors depuis 1929 pour un montant total de 2,2 milliards d’euros. Caradisiac s’est invité à la cérémonie de mariage.
Officiel - Le groupe PSA rachète Opel
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L'issue des négociations entre le groupe français et General Motors ne faisait aucun doute, mais cette fois c'est officiel : Opel et Vauxhall rejoignent PSA. Une opération de 2,2 milliards d'euros qui donne naissance au deuxième constructeur européen.
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