Relancée en 2017 avec l’Alpine A110, la petite marque de Dieppe a de grands projets d’avenir. Sept modèles sont en effet au programme d’Alpine, la remplaçante de l’Alpine A110, une version roadster, une nouvelle A310, une nouvelle R5 Alpine mais aussi trois SUV ! Si toutes ces autos sont électriques sur le marché européen, il se pourrait qu’elles disposent de motorisations hybrides sur d’autres marchés hors d’Europe, car Alpine a de l’ambition et veut devenir un constructeur mondial…
Dix ans avant le miracle de l’Alpine A110 moderne, Renault avait failli faire renaître sa marque de sport avec une GT basée sur la Nissan 350Z. A l’époque, les dirigeants ont finalement préféré l’annuler.
Le patron d'Alpine a été débarqué hier au profit de son vice-président. Si le sortant ne paie pas les ventes passables de la berlinette (malgré une belle remontada), Luca de Meo lui reproche certainement les déboires que son écurie de F1 connaît depuis deux saisons.
Les ventes de la marque dieppoise progressent de 9 % sur les six premiers mois de l’année. Un succès qu’elle doit essentiellement à la version R de l’A110, aux séries limitées et aux capacités de production.
Après l’édition spéciale « Enstone », Alpine enchaîne en dévoilant trois nouvelles livrées spéciales de son A110. Il ne faudra pas avoir froid aux yeux pour choisir le modèle « US Racing 2023 »…
Encore une édition limitée de l’Alpine A110. Cette fois, elle se base sur la version A110 S et sera produite à 300 exemplaires, au prix de 85 000€ sans options.
Qu’est-ce que le comédien de Deadpool vient faire dans le capital d’Alpine ? Il va peut-être y trouver fortune si la petite marque française réussit son voyage en Amérique. Mais assurément, Alpine, quant à lui, va y trouver un bénéfice, quelque soit l’issue de l’aventure. Décryptage.
La marque Alpine est pleine d’ambition : atteindre un chiffre d’affaires supérieur à 8 milliards en 2030, une gamme complète de sept modèles, conquête de l’Amérique tout en investissant les courses d’endurance et continuer en Formule 1. Comment la marque va-t-elle s’y prendre ? Voici la stratégie vue par Luca de Meo et le patron d’Alpine Laurent Rossi.
Alpine a renoncé à collaborer avec Lotus pour mettre au point sa prochaine voiture de sport électrique. Mais la division « premium » du groupe Renault a une stratégie pour gagner de l’argent malgré ce gros investissement.
La marque a de l’ambition et compte sur sa notoriété en Formule 1 et surtout le déploiement de plusieurs modèles pour accroître ses ventes et sa santé financière. Le but est de devenir rentable dès 2026, et d’augmenter ses revenus de 40 % par an entre 2023 et 2030.
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