Le segment de la location de véhicules n’est plus une cible prioritaire dans le cadre des quotas et des délais définis par le projet de loi LOM (Loi Orientation des Mobilités). Les loueurs restent cependant en alerte sur le sujet. L’occasion d’évoquer les missions et les contraintes de la filière à l’aube de cette nouvelle réglementation.
Louis-cyril Tharaux
Lui écrirePrévenir les risques d’accidents durant le temps de travail comme durant les trajets domicile-travail, c’est tout l’enjeu des initiatives publiques et privées, souvent conjointes, destinées à informer les entreprises, autant les employés que les employeurs, vis-à-vis des dangers de la route.
Alors que le Plan Climat prévoit la fin de la vente des voitures essence et diesels en 2040, les motorisations alternatives creusent lentement leur sillon au sein des parcs d’entreprises français. Entre élargissement de l’offre, incitations fiscales et obligations légales, les flottes s’engagent dans cette nouvelle ère plus ou moins à marche forcée.
Enjeu environnemental, économique et sécuritaire, l’éco-conduite est aujourd’hui plébiscitée par les flottes. Elles sont de plus en plus nombreuses à s’équiper de solutions télématiques diverses (boîtiers embarqués, applications pour smartphones avec coaching en temps réel, etc.) pour sensibiliser et impliquer leurs collaborateurs.
La majorité des entreprises opte pour des véhicules de fonction en location. Parmi les offres qui gagnent du terrain figure la LLD, formule qui impose de restituer le véhicule au loueur en fin de bail. Un moment souvent redouté par les gestionnaires de parcs. Voici des conseils pour anticiper le jour J.