Que les amateurs de la musique la plus écoutée au monde se réjouissent : en freinant en voiture, ils s’arrêtent 14 m avant ceux qui écoutent du RnB, du metal, de la techno ou de la musique classique. Du moins selon des chercheurs anglais qui ont collé des conducteurs-cobayes sur un simulateur avec des écouteurs dans les oreilles.
Michel Holtz
Lui écrireIl a acheté la grande berline française il y a près de quarante ans et ne l'a jamais vendue. Quatre décennies plus tard, l'auto de ce retraité du Val d'Oise est toujours aussi pimpante et vaillante. Son secret : un kilométrage très peu élevé pour son âge et un entretien simple mais méticuleux.
Le premier constructeur mondial pourrait bien virer de bord. Et les réticences de son ex-patron, qui va quitter son fauteuil dans un mois, pourraient bien céder la place à l’enthousiasme de la nouvelle direction pour les autos à batteries.
Et si Citroën changeait radicalement de positionnement ? Et si la marque historique de l’innovation et du haut de gamme à la française devenait low cost ? Et si sa nouvelle cible était Dacia, et plus du tout les marques généralistes ? Beaucoup de « si » pour une hypothèse soulevée par Les Echos. Mais si ce gros changement est possible, il est loin d’être certain. Explications.
Si le redressement financier de l'ex-PSA et désormais Stellantis est unanimement salué, le management du patron et redresseur Carlos Tavares l'est moins. Sept cadres dirigeants de la maison Stellantis ont été remerciés en quelques semaines et leurs troupes ne cachent pas leur trouble.
Coup sur coup, deux start-up européennes pleines de promesses sont dans la tourmente. En France, Hopium et ses voitures à hydrogène croulent sous les pertes et en Allemagne, Sono et ses autos solaires ne sont pas plus vaillantes. Les utopies s'écroulent et les vieux constructeurs sont confortés par une évidence : on ne s'invente pas constructeur auto par la grâce d'une simple levée de fonds.
Il était inévitable que l'émission Vroum sur France 3 Normandie s'intéresse au seul constructeur local : Alpine, dont l'usine est à Dieppe. D'autant que les deux pilotes maison, Esteban Ocon et Pierre Gasly sont eux aussi normands. Le 5 mars prochain, une émission spéciale sera consacrée à la marque et à ceux qui la font rayonner sur les circuits de F1. Quelque temps plus tard, toujours à Dieppe, seront célébrés les 50 ans de la victoire en championnat du monde d'Alpine.
24 heures après les excellents résultats du groupe Stellantis, et les piètres chiffres de Citroën, l'une de ses marques, le directeur général des chevrons, Vincent Cobée, cède sa place. Le signe d'une crise au sein de la maison qui paie notamment ses errements en matière de design.
La star absolue du foot est le nouvel ambassadeur d'Alpine pour 4 ans. Selon un site spécialisé, il serait payé 14 millions d'euros pour cette mission. Un montant que la marque s'est empressée de démentir. Au-delà de la somme en jeu, ce contrat pose un problème d'adéquation, puisque Zizou est le parrain d'une association caritative lancée par le constructeur. Il est aussi chargé de l'image de la marque, et de sa "mobilité verte" à travers le monde. Sauf qu'aux États-Unis, le pays qui intéresse le plus Alpine, le foot reste un sport marginal.
L'incroyable infrastructure de 10 km de long en région parisienne, c'est toute une aventure qui aura mobilisé le savoir-faire des meilleurs ingénieurs durant une décennie. Des péripéties qui ont les honneurs d'un documentaire bientôt diffusé par RMC Découverte.