La tension monte à mesure qu’approche l’instauration des 80 km/h sur le réseau secondaire. Pour tenter de juguler les protestations, la Sécurité routière présente une étude censée nous convaincre qu’une application différenciée de la mesure selon le type de réseau serait contre-productive. La publication de cette étude a aussi pour but de décrédibiliser un rapport « anti-80 km/h » qui sera dévoilé jeudi matin par des sénateurs.
Il faut croire que les malentendus ou même encore les arnaques font florès dans le monde de l’automobile d’occasion. La preuve avec celle mise en garde de la gendarmerie, qui, sur son réseau social, rappelle quelques principes de base pour ne pas connaître les affres de l’affaire judiciaire après avoir cru faire une bonne affaire. Une vigilance qu’il faut d’autant plus développer que les litiges trouvent, la plupart du temps, leur source dans des vices cachés. Or, les gendarmes ne sont pas compétents pour traiter ce type de différend. En effet, il s’agit d’une procédure civile et non pénale.
Ces dix dernières années, nombre de nouveaux équipements de confort et de sécurité sont apparus sur le marché. Parfois révolutionnaires, parfois gadget, parfois utile pour certains types d’usage seulement : nous faisons le tri pour vous et vous aidons à choisir les bons… et vous passer des superflus.
C’est un thème de sécurité routière qui semblait pourtant bien ficelé et sans le moindre risque politique pour un gouvernement en place. Car le refrain était connu : stigmatiser la vitesse sous couvert de sauver des vies tout en se donnant l’opportunité d’élargir le spectre de la sanction et des amendes l’illustrant. Les tenants et les opposants habituels allaient s’affronter en vain et la réforme allait passer comme une lettre à la Poste. Seulement voilà, un nouveau front s’est ouvert, inattendu, mais qui montre bien, aussi, que le seuil de tolérance des usagers de la route est à présent atteint.
Pour éviter les accidents, les véhicules d'intervention des sociétés d'autoroute seront désormais signalés sur l'application Waze, pour les réseaux Vinci et Sanef.
Depuis le 1er janvier 2017, les professionnels de l'après-vente automobile doivent proposer à leurs clients la possibilité d'opter pour des pièces d'occasion plutôt que des pièces neuves. L'avantage est pécuniaire, mais aussi écologique. Mais qu'en est-il côté client ? Une étude du spécialiste de la petite annonce Vivastreet montre que les mentalités évoluent.
Le baromètre des immatriculations de voitures neuves en France est observé et étudié par un Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA) qui nous livre la dernière température du marché hexagonal en ce week-end pascal. Au bilan, une progression, ce qui a de quoi réjouir. Cependant, la hausse est moins satisfaisante que les deux années passées et confirme les prévisions modestes de développement annoncées au début de l’exercice en cours.
En cette période de Pâques, nous voilà partis à la chasse aux œufs, mais, du côté de la Mairie de Paris, on a plutôt décidé de s’occuper des nids-de-poule. Pour ne pas rester chocolat face à la protestation grandissante des usagers de la route qui ont l’impression qu’on leur a posé un lapin, au rendez-vous de l’élémentaire sécurité de rouler sur un axe carrossable. Pour le moment, il est plutôt cabossé. Alors Anne Hidalgo monte au créneau. Enfin ?
Mois après mois, les statistiques confirment le désintérêt croissant des automobilistes pour les motorisations diesels. En neuf comme en occasion, celles-ci ont encore pourtant des arguments à faire valoir. Reste à savoir si le message demeure audible.
Selon l'étude annuelle de l'Automobile Club Association, le budget de l'automobiliste ne cesse de croître. Le possesseur d'une Renault Clio, voiture la plus vendue en France, se sera ainsi allégé de 6063 € l'an dernier, chiffre qui traduit une hausse de 3,1%. Les taxes représentent le quart des dépenses globales.
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