Pour ce huitième jour de trip, c'est une journée fériée au Portugal. C'est la fête de la liberté (révolution des œillets, 25 avril 1974). Et qui dit journée fériée, dit repos ! ! . . . cool. Du coup, pour mettre les organismes en route, on décide d'aller visiter un marché local où l'on trouve de tout.
Cette fois c'était du sérieux. Et au regard de ce qui s'est passé, c'est peut être bien à l‘issue de cette étape d'Oschersleben que l'on va pouvoir apprécier toute l'étendue de sa passion pour la moto et de son abnégation à vouloir se mettre au pilotage d'une machine de compétition.
Fouyaya… qu'est ce que je raconte là ! ? . . . des balourdises pour ne pas changer. Je ne sais pas si c'est la folie qui me guette mais je viens de tomber sur une vidéo qui m'a inspiré cette nouvelle marque et ce nouveau modèle. Et maintenant que je l'ai vu, cela me semble tout bonnement plus qu'évident.
Cocorico, Mike Di Meglio l'a fait ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Même si il aura fallu attendre 26 longues années, c'est toujours bon de commencer une news ainsi. Espérons tout de même que les 2 «lascars» évoluant dans la catégorie reine en prennent un minimum exemple… Revenons à nos belles brebis. .
La fatigue accumulée ces derniers jours commence sérieusement à peser sur nos épaules… surtout les miennes en grosse larve que je suis. Mais j'ai de la chance parce que le programme d'aujourd'hui est qu'il n'y en a pas. On va se poser et se remettre de nos émotions et se remémorer en images les quelques jours précédents.
Voici donc un croisement pour le moins improbable que l'on pouvait apercevoir sur Ebay. com il y a quelque temps. Il s'agit de l'œuvre d'un californien qui a réalisé cet engin à partir d'une Yamaha Vmax modèle 86. Il a conservé une partie du cadre du Vmax, et lui a greffé un monobras et une roue arrière de Triumph (et de trois motos pillées).
Sur Caradisiac Moto, la moquerie est prohibée mais le rire est plus que recommandé. Donc en voyant cette vidéo, vous aurez le droit de sourire et même de rire mais sans aucune arrière pensée… Le coup de la porte à fermeture automatique actionnée par un bip est devenu un grand classique.
Après avoir pris plein sud pour la balade d'hier, on fait route au nord pour celle d'aujourd'hui et on quitte définitivement Lisbonne. Une fois de petit déj' envoyé et compte tenu des petits désagréments de la veille.
Chaud derrière, chaud en effet pour cette séance de burn au féminin. Faut-il rappeler qu'il s'agit de freiner de l'avant tout en faisant tourner la roue arrière le plus vite possible afin de dégager le plus de fumée possible en « brûlant » le pneu.
Même si je ne m'y suis jamais essayé, force est de constater qu'à regarder les pros faire partir en fumée leur gommard arrière, cela semble presque évident. C'est sûrement le même raisonnement qu'a eu ce motard avant de se lancer à corps perdu pour un burn de folie.
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