Nous voici de nouveau avec cette sous-rubrique « Fictions automobiles » de la rubrique « Caradisiac Week-end » en train de traquer l’automobile dans les livres, dans les pièces, partout où on ne l’attend pas parce que l’automobile habite et reflète les fictions que nous vivons.
A événement exceptionnel, horaire exceptionnel. D’habitude nous nous retrouvons à 22h mais aujourd’hui cela se passe avant midi.
Celui-là cela fait longtemps que j’aurais dû vous le sortir. Mais il n’arrive que maintenant. Voici La petite auto de Guillaume Apollinaire, poème issu des Calligramme publiés en 1918.
Souvent les grandes découvertes ou avancées technologiques ont été à l’origine de grandes envolées lyriques de la part des créateurs. Nous avons déjà évoqué le rapport étroit du mouvement futuriste (dans sa partie italienne) à l’automobile. Mardi soir encore, je vous proposais de découvrir ou redécouvrir un tableau dédié à la vitesse.
Le célèbre professeur Tournesol, inséparable compagnon de Tintin est-il (aussi) l’inventeur de l’automobile ? C’est l’une des questions que l’on peut se poser en refermant le livre d’’Emmanuel Rabu intitulé Tryphon Tournesol et Isidore Isou paru en 2007 aux éditions du Seuil, dans la collection Fiction et Cie.
Le Salon de Genève va se terminer le 13 mars prochain. Le 13, c’est dimanche. A propos de salons automobiles, Léon Daudet, écrivain conservateur bien connu du système éducatif français, avait inventé une expression…
Tourner la page. C’est manifestement, nos études le prouvent, l’un des gestes qui vous est le moins naturel sur Caradisiac et, plus généralement semble-t-il, sur Internet.
Nouveau rendez-vous dans Caradisiac week-end. Sans pression, il reviendra régulièrement, aléatoirement, le samedi ou le dimanche. Avec « Fictions automobiles » nous vous proposerons des lectures procédant directement ou indirectement, implicitement ou explicitement, du vaste monde de l’automobile.
Et si la cinquième saison (outre l’hiver, le printemps, l’été et l’automne) était… la saison de sport automobile, laquelle court sur toute l’année, 24 heures sur 24, tout au tour du monde (pardonnez cette précipitation d’anticipation mêlée de science fiction) ?
Une Fiat 131 détruite, à peine reconnaissable, et en fâcheuse posture à la une d’un magazine ? Ne soyez pas étonné. Telle est en effet la une du dernier numéro du gratuit Vice car, comme tout le monde le sait, le vice est gratuit.
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