Face aux mauvaises nouvelles qui s'accumulent sur le front automobile, nous avons eu cette semaine envie de montrer ce qui fonctionne bien pour le secteur à l'échelle de l'Hexagone. Et vous allez voir que les motifs de satisfaction restent nombreux.
Le gouvernement fédéral de Rhénanie-Palatinat demande aujourd'hui à Carlos Tavares, PDG de Stellantis, de s'expliquer sur l'avenir d'Opel, qui reste en ce moment très incertain, avec des rumeurs de délocalisation au Maroc.
La colère commence à sérieusement monter face à la hausse des prix des carburants. Le gouvernement cherche encore la parade pour éteindre l'incendie.
Le ministère de l'Intérieur a confirmé une commande de 26 exemplaires de l'A110 !
Selon son patron, une restructuration de Volkswagen pourrait entraîner la suppression de 30 000 postes.
La pénurie de composants électroniques allonge les délais de livraison des voitures neuves. Si vous voulez un nouveau modèle rapidement, mieux vaut piocher dans les stocks.
La pénurie de semi-conducteurs touche désormais tout le monde, et oblige les constructeurs à faire des choix drastiques. Chez Audi, la plupart des modèles vont tourner au ralenti... sauf ceux produits dans l'usine de Neckarsulm, marge et rentabilité obligent.
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Alors que le carburant est surtaxé, Barbara Pompili, ministre de l'Écologie, demande aux distributeurs de faire un geste sur leurs marges !
Selon une étude, Paris a une bonne offre de stationnement. En revanche, la capitale française est moins bien placée pour la gestion du trafic.
Lors de la présentation du plan d'investissements pour relancer l'innovation dans le pays, Emmanuel Macron a fait un constat sévère sur la situation de l'industrie auto française !
Dans la rubrique Economie / Politique
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