Modèle après modèle pourtant on guette, on espère, sa disparition qui ne survient toujours pas. Il faut se souvenir de l’époque des Biturbo où, auprès des journalistes de l’époque, la présence de la déjà fameuse pendule était raillée presque systématiquement. Mais, chose étrange, depuis que les Maserati ont été reprises en main par Fiat et Ferrari, la présence de la pendule semble passer comme une lettre à la poste. Mieux, elle semble même faire partie de la maison, avoir acquis un statut similaire à celui d’un logo ; plus personne ou presque ne semble en effet remettre en cause son « être-là ».
Cela signifie-t-il que le seul fait de retrouver ses lettres de noblesse (en l’occurrence une fiabilité, une sportivité et une élégance conjuguées au présent) autorise même quelque faute de goût manifeste ? Peut-être…
Qu’il nous soit donc permis, ici, de porter atteinte à l’intégrité de cette « pendule Maserati », sinon à son statut. Eh oui, on voit ce qui advient quand on s’en prend ainsi à ce genre d’objet : cela fait mal, c’est violent. Et tout le monde s’en mêle. C’est normal, c’était Minuit chicanes. Et nous y étions. Après l’heure, est-ce encore l’heure ?
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