Fantasme suprême, François Chapus a eu la chance de poser les mains sur 2 jumelles, de les rudoyer puis ensuite, les coucher ... sur le papier. Après être sorti de la Suzuki Splash, il est entré dans l'Opel Agila pour un essai en bonne et due forme.
L'Agila se présente comme le premier monospace mais aussi l'entrée de gamme d'Opel. Décliné en 1.0l, 1.2l essence et 1.3l diesel, l'Agila est intéressante par son gabarit réellement urbain (plus petite qu'un Modus), sa figure joviale, un rayon de braquage inversement proportionnel à celui d'un Mesrine (elle est 3e degré celle-là !), son levier de vitesse qui vous happe la main droite, et une tenue de route sur le 'rapide' qui s'inscrit dans la très bonne moyenne et qui ne sacrifie pas le confort à basse vitesse.
Bref, l'Agila est une bonne auto qui aurait pu changer de nom (Suzuki l'a fait) sans que personne ne crie au scandale. Entre Agila 1 et Agila 2, il y a à peu près autant de ressemblances qu'entre Antonio Banderas et Jean Benguigui .
Les moteurs sont par contre tout juste suffisants et les calages avec le modèle 1.2l essence au couple ...disons... léger sont légions. Pensez à écraser la pédale de droite pour manœuvrer ! Le diesel est à peine mieux et on notera une commande de boîte accrocheuse. Difficile de mettre en cause la "montagne de couple" à transmettre ! Bref, là n'est pas l'intérêt des Agila (ni des Splash d'ailleurs).
Mais, je vous laisse potasser l'essai plus complet de François et vous poste l'essentiel de mon travail sur l'essai : une belle série de photos, divisée en 2 partie vu le nombre (et la sueur perdue !)
2e partie ici
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