Cette jolie eurasienne est secrétaire de rédaction dans un grand magazine automobile tchèque. Ahhh… ces journalistes nous dira-t-elle, des incorrigibles !
Evoluer en tant que femme dans un milieu exclusivement masculin n'est pas toujours chose aisée mais au fil des mois Carolina a su se frayer un chemin dans ce milieu hostile. Son arrivée au sein de cette rédaction praguoise en mai dernier a soulevé moult controverses. Il est évident qu'avoir pour tonton le directeur de la rédaction facilite le passage. Mais être pistonnée dans un magazine automobile, quoi de plus naturel ?
Carolina a du redoubler d'efforts pour prouver ses talents de correctrices. Travailler deux fois plus, se faire respecter pour son travail et pas pour son physique et prouver à ses supérieurs que les journalistes ne sont pas des dieux de la prose. Ses armes ? Un QI d'enfer et un double volume du gros Robert pour assurer ses arrières en cas d'attaques intempestives de chroniqueurs. Il est clair que Carolina ne fait pas un métier facile. Inspecter, examiner, remarquer et critiquer les papiers de ses chers collaborateurs n'est pas une mince affaire. Mais quand on aime ce métier, les réactions de la rédaction deviennent plus stimulation qu'humiliation. Après une bonne correction de Carolina, plus aucun journaliste n'a jamais tenté de la fauter. Épuisée nerveusement, la besogneuse a souhaité s'exiler un an dans son petit chalet de Gstaad pour se ressourcer. C'est d'ailleurs dans ces lieux que la belle eurasienne a accepté de se soumettre à une séance photo coquine. On croit savoir que les journalistes des grands hebdos français, Le figaro, Le Monde et Libération, sont plutôt mal lotis quant à l’esthétique de leur secrétaire de rédaction et qu’ils seraient ravis de se plier aux exigences grammaticales de la petite eurasienne. La tentation de fauter serait grande.
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