L’original – Afin de relancer les ventes et moderniser son offre Renault va proposer dès l’automne 1955 une version break de la Frégate. Ce sera la Domaine, plus utilitaire et polyvalente qui viendra compléter son offre aux côtés de la Juvaquatre et des Colorale. Ces dernières disparaissant du catalogue dès 1956. Le break Domaine dispose du moteur Etendar de 2.141 cm3 développant 77 ch à 4.000 tr/mn lui permettant une vitesse de pointe de 135 km/h. Il était affiché à 862.000 F lors de sa présentation au salon 1955.
La miniature - Bien que signé Solido ce break Frégate Domaine ne trompera l’œil avisé du collectionneur qui reconnaitra rapidement la signature d’Eligor. Pour convaincre le septique il suffit de l’inviter à regarder le catalogue en ligne du dernier réducteur français. Et sur ce modèle, une piste, son immatriculation 420 FR 01, lieu d’implantation d’Eligor à Izernore (Ain). Les lignes et volumes généreux de ce break sont plus justes que ceux de la berline, mais certains détails sont anachroniques. En effet, le break AM 1956 était encore doté de clignotants latéraux, placés juste derrière les portières arrière. Il n’y en avait pas à l’avant. La calandre, ornée de trois baguettes horizontales manque de finesse et gagnerait à être noircie. A l’arrière, une excroissance superflue - figurant certainement un feu rapporté – est présente à droite du feu gauche. Pour le reste, la présentation est correcte avec un intérieur au mobilier gris clair. Le soubassement n’est pas détaillé.
RENAULT Frégate Domaine (AM 1956)
Solido – réf. 151581

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